Ah tu diras comment est le Eduardo Kohn. Failli l’acheter plein de fois, les éditions Zones Sensibles font un travail remarquable.
J’avais adoré (entre autres) Et l’âme devint chair
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Je te dis ça dans quelques mois haha ! Mais oui, l’éditions zones sensibles est une pépite. J’ai également lu Folies Arctiques et Yucca Mountain de chez eux. Très cool !
Hello, comme promis je vous partage le lien de la vidéo Youtube consacrée à Céline, le plus célèbre des écrivains antisémites 
.
Hésitez pas à me faire un retour et à commenter si ça vous plaît. Merci.
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De mon côté je lis parfois des choses en anglais, quand la trad fr peut potentiellement dénaturer l’œuvre, ou quand j’ai la flemme d’attendre (la sortie d’un Connelly par exemple).
Sinon je lis aussi en espagnol, par plaisir car j’aime la langue et ça me rappelle de beaux souvenirs.
Sinon j’avais 3 jours de congés la semaine passée, j’en ai profité pour lire deux chouettes bouquins :
L’art de Perdre, une fresque sur l’Algérie de 1930 à 2015, traitée du point de vue d’un Harki et de ses descendants
Et Soudain seuls, l’histoire de deux trentenaires qui s’égarent sur une île déserte de l’Atlantique sud, île dont l’accès leur était supposément interdit
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Lectures de ces dix jours de vacances pour moi
Des poulpes (mais pas que, le mec étant philosophe beaucoup de ponts sont jetés et le bouquin est passionant)
Et des prolos qui font de la musique
Le traitement « oral history » est toujours cool, ça se lit vite, met en relief les contradictions/désaccords et ça faisait longtemps (depuis cet été et The Dirt de Motley Crue) que j’avais pas lu un truc sur la musique.
Du coup je vais enchainer avec ça je pense
Edit @DireStretch Faut que je termine ta vidéo, ça a l’air cool comme format !
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C"est cool !
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Soudain, seuls ,je suis en plein dedans, c’est très chouette !
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Merci les gars. Franchement après recul, je vois pas mal de défauts mais j’ai prévu de corriger ça. D’ailleurs je planche sur la prochaine et j’ai investis dans deux trois trucs qui vont changer la donne. Affaire à suivre d’ici deux semaines.
Bon faut s’abonner aussi sinon ça va stagner 
T’as un lien vers ta chaîne? Parce que je te retrouve pas sur Youtube, peut-être un bug de référencement.
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Franchement je vous partage le bricolage qu’on a fait pour tourner la deuxième vidéo parce que c’est quand meme ridicule. 
Tant que ça parle de parle de moyen âge dans le topic débat, le sujet sera sur les origines de quelques personnages de Kaamelott. Histoire de prendre la température avant la sortie du film. Parce que faire 300 vues c’est cool mais on a peu de retours.
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Demande identique pour offrir un seul bouquin (et pas un paquet) à ma mère. Allez, deux à la limite.
Elle aime bien Charles Williams, Raymond Chandler, Chester Himes, Dashiell Hammett, Donald Westlake, et, pour citer des auteurs plus récents, Manchette & Vargas.
Elle voudrait découvrir ce qui se fait depuis une dizaine d’années.
Avez-vous d’autres recos que celles de @Romigourmi ci-dessous ?
Assez mainstream mais très bon (surtout les premiers 10) :
Michael Connely
Sinon je voue un culte à Georges Pelecanos (mais c’est un peu violent).
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Quelques récos en plus.
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Y’a Camilla Lackberg qui fait des bons bouquins, surtout la série Erica Falck.
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Alder Olsen, tu peux lui offrir Miséricorde c’est le premier tome de la série les enquêtes du department V.
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Piéter Aspe (qui vient de mourrir), écrivain belge dont le héros est un flic brugeois qui boit trop de Duvel.
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Shoham Liad, écrivain Israélien.
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Bouquin reçu, père ravi. Merci à vous deux pour la suggestion.
Je n’avais pas fait gaffe au moment de commander : le bouquin est massif. Format « livre d’art » — ce qui est cohérent avec le nombre de photos qui émaillent le texte — et >1 kg.
Les premières éditions se trouvent à moins de 10 balles, livraison incluse. Cela permet de faire un beau cadeau sans se ruiner.
Pour une prochaine fois.
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Oui j’aurai du préciser
Ton père a aimé ?
Il l’a seulement feuilleté pour l’instant. Mais il devrait aimer. Lecteur occasionnel de Jazz Magazine et Jazz Hot, le nom de l’auteur lui était déjà familier.
(et, oui, à cause du format, c’est pas le genre de bouquin que tu manies pépère dans ton bain ou allongé dans ton lit )
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Après des mois de boulot, on sort enfin une nouvelle vidéo, mieux finie. Allez checker ça si ça vous intéresse et hésitez pas à réagir en comms (la vieille rengaine… )
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Sur 8 livres lus, best-of de juin et juillet
A chaque fois que je commence un Richard Powers je me dis que ça va être plus un bouquin pour ma mère que pour moi et dès que je le termine je réalise que ça tue. Entre celui-ci et Le Temps où nous chantions je n’ai pas d’autres exemples de pages magnifiques sur la musique dans une fiction.
Le Rouchon-Borie je l’ai acheté sans même faire gaffe que c’était français. Je vois Dimitri, je lis la 4ème en diagonale, je me dis « ok un truc ambiance pays de l’est chez Le Tripode c’est cool ». Arrivé à la maison j’apprends que le mec est nantais, chroniqueur judiciaire au Télégramme 
Une de mes lectures de cette année, hyper puissant et maitrisé avec des gimmicks de langage pas artificiels mais qui reflètent vraiment l’état mental de Duke. C’est bien violent par contre, je l’offrirai pas à tout le monde.
Y’a pas des masses de Steve Erickson traduits en français, j’avais kiffé Zeroville à sa sortie et j’ai adoré Radio Ethiopie lu cet hiver du coup j’ai choppé celui-là en occasion, sorti en 2001 et épuisé je crois. C’est dans la veine de mes lectures depuis un an, assez fou, on s’y perd un peu mais bon le mec est adoubé par Pynchon alors c’est cool.
J’ai été hyper touché par Foucault en Califonie, pas besoin d’avoir lu Foucault dans le texte pour aimer - même si ça peut aider pour 2-3 échanges avec des étudiants californiens à la fin. Clairement un beau texte à l’histoire un peu folle (cette escapade de Michel dans le désert pour prendre du LSD qui l’aurait amené à avoir une révélation et jeté les manuscrits de son Histoire de la sexualité à venir pour les retravailler a longtemps été un mythe avant que l’auteur ne soit retrouvé et publie son récit).
Et enfin, La mélancolie de celui qui vise juste. Je suis le travail d’édition de Toussaint Louverture depuis des années avec ses sorties hyper consistantes et toujours un travail de mise en page fou. Je ne connaissais pas l’auteur et c’est cool parce que maintenant je vais le digger. Dévoré en un jour, c’est un peu hors du temps, « tout simple » mais hyper beau. Le récit est très découpé et évocateur, on se retrouve souvent à l’imaginer adapté en film. Effectivement c’est mélancolique et le surnaturel qui arrive au fil du récit m’a laissé une impression similaire à ma grande lecture de l’année dernière, Lincoln au Bardo.
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Je connaissais pas Nordan et Erikcson, merci pour la découverte! Le pitch de « The sea came at midgnith » est sacrément barré 
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