Toujours content oui, c’est de loin mon jean préféré, il vieilli magnifiquement bien. A prendre bien à l’aise au départ, au fur et à mesure de lavages ça perds un peu.
Comme d’hab les meilleurs conseils c’est Arthur direct, il connaît sa came par cœur.
Question peut être con mais pour un néophyte complet comme moi :
-les fils « qui dépassent » j’imagine sont un marqueur d’authenticité et de qualité de fabrication pour les puristes : mais on reçoit le produit tel quel ? Vous laisser les fils ? Ou ça se coupe ? (Pas de risque de tirer dessus, fragilité ?)
Je vois qu’on peut choisir la taille , puis après choix de l’inseam « à la carte » j’imagine que c’est casse gueule sans essayer de choisir à distance ? Et sans le conseil pour tenir compte des différents paramètres (rétrécissement lavage et autre) : j’imagine que c’est un achat qui ne se conçoit qu’en boutique avec le conseil ?
Tu recois le produit avec les fils qui dépassent, c’est propre au modèle confectionné à l’origine lors de la WW2.
Côté risque, j’en ai aucune idée n’ayant pas le jean en main, mais s’il doit vieillir avec des conséquences “négatives” du fait des fils qui pendent ce sera “voulu” dans le sens où Arthur reproduit les jeans d’époque, avec leurs qualités et leurs défauts. Je ne sais pas si je suis compréhensible.
Pour ta dernière question, et pour avoir toujours pris mes jeans en boutique : oui sans voir le produit c’est casse gueule.
Rien ne vaut une bonne discussion avec Arthur et un essayage avec ses conseils en direct, l’expérience boutique est indispensable pour apprécier pleinement le produit.
Merci @Fatigue parfait cet article tombe à pic, toujours un plaisir de te lire et cela répond déjà à mes interrogations.
Merci à @Axl également, oui très intéressé par cette démarche un peu jusqu’au boutiste, j’aime bien la coupe sur les peu de visuels dispos, un peu plus dubitatif sur les fils même si je comprends la démarche, après tout j’imagine qu’à l’époque chacun faisait ce qu’il voulait avec ces finitions et que cela fait partie de la vie de la pièce (si j’ai bien compris et de ce que je viens de lire rapidement : pendant et juste après guerre, l’industrie privilégiait l’efficacité : certains éléments décoratifs ont été éliminés et les finitions manuelles (comme recouper chaque fil) n’étaient pas systématiques, étant un vêtement de travail j’imagine que la plupart des gens à l’époque ne souciaient ni ne coupaient les fils et que garder ces fils est un marqueur d’authenticité). Bon après perso quand je vois un fil j’ai envie de tirer dessus .
Rarement à Paris mais j’ai un truc à faire en décembre faut que je trouve un créneau pour voir ça directement.