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En dehors du fait que le business model « ĂȘtre moins cher que Temu et Shein Â» se suffit Ă  lui mĂȘme, on a le droit lĂ©galement en France de citer des concurrents sur sa dĂ©vanture comme ça ? :joy:

Je laisserai ceux dont c’est le mĂ©tier rĂ©pondre Ă  la partie sur le droit de le faire spĂ©cifiquement sur la devanture d’un magasin.

De maniĂšre gĂ©nĂ©rale la publicitĂ© comparative est autorisĂ©e en France (cf. la guerre que se livrent les grandes surfaces de l’agroalimentaire Ă  la tĂ©lĂ©) tant qu’elle respecte un certain nombre de critĂšres. Parmi eux : rĂ©pondre Ă  un mĂȘme besoin, n’est pas trompeuse, compare de maniĂšre objective sur des caractĂ©ristiques tangibles les biens et services .
Ici, tant que leurs prix sont effectivement plus bas que ceux des concurrents citĂ©s, ils me semblent ĂȘtre dans le cadre autorisĂ© par la loi.

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La devanture sur la photo de l’article est un montage photoshop. Pas sĂ»r qu’on retrouve ce slogan gĂ©nial en vrai.

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Nous vivons dans la darkest timeline

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Lookbook SOSHIOTSUKI, printemps-été 2025

Marque japonaise créée en 2015 par le designer Shoji Otsuki. Style sarto-dandy en bonne partie inspiré des couturiers italiens de la fin des années 80 - début des années 90 (Armani, Valentino, etc.).

https://soshiotsuki.jp/
https://soshiotsuki.store/
https://www.instagram.com/soshiotsuki/









Lookbook automne-hiver 2025











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Je découvre ce shop canadien avec une sélection :ok_hand:

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De l’inspiration pour l’ami @steam_geek ça

Traduction de l’article https://www.highsnobiety.com/p/margaret-howell-interview/ :

La belle humilitĂ© de Margaret Howell, l’un des rares gĂ©nies de la mode

Le vrai luxe ne se rĂ©duit pas au nom du designer sur l’étiquette, affirme Margaret Howell. C’est une coupe parfaite, un tissu parfait. Cette thĂšse est si simple et si Ă©vidente que Margaret Howell n’a pas eu besoin d’en peaufiner un mot depuis qu’elle l’a proposĂ©e pour la premiĂšre fois en 1970.

Howell a Ă©tĂ© la premiĂšre et sans doute la meilleure designer contemporaine Ă  reconnaĂźtre la beautĂ© d’un vĂȘtement bien coupĂ© et bien pensĂ©.

Les gens portent des vĂȘtements tous les jours. Et si quelqu’un traitait ces mĂȘmes vĂȘtements avec le mĂȘme souci du dĂ©tail que la plupart des crĂ©ateurs accordent Ă  la « mode » ? Que se passerait-il si le quotidien Ă©tait, oui, de la « mode » ?

Ce qui est gĂ©nial, c’est que Margaret Howell l’a compris des dizaines d’annĂ©es avant tout le monde et a continuĂ© Ă  l’incarner depuis.

Ce truisme m’a Ă©tĂ© rappelĂ© lorsque j’ai jetĂ© un premier coup d’Ɠil Ă  la collection Margaret Howell Automne/Hiver 2025, encore une fois un magnifique assortiment de chemises, costumes en laine, Ă©charpes Ă©paisses, et manteaux encore plus Ă©pais.
C’est du Margaret Howell vintage — au sens propre, puisque certains designs sont tirĂ©s des archives de Howell.


Mais la collection devrait sembler terriblement familiĂšre Ă  ceux qui suivent les nombreuses jeunes marques soucieuses de l’artisanat qui dĂ©finissent le marchĂ© en plein essor des « bons vĂȘtements ». Consciemment ou non, cette nouvelle gĂ©nĂ©ration est issue de l’école du bon goĂ»t de Margaret Howell.
La crĂ©atrice britannique a toujours Ă©tĂ© une rĂ©fĂ©rence familiĂšre, mais son influence n’a jamais Ă©tĂ© aussi Ă©vidente.
Sauf peut-ĂȘtre pour Howell elle-mĂȘme.

« Pour ce qui est de l’influence, je ne suis pas sĂ»re que je la dĂ©finirais ainsi », me dit-elle. « Mais il est toujours agrĂ©able de voir d’autres personnes adopter des idĂ©es et des principes similaires. Je prends note de ce qui se passe et j’admire le travail des crĂ©ateurs qui abordent le design de maniĂšre rĂ©flĂ©chie. Il est encourageant de voir que d’autres accordent de l’importance Ă  la qualitĂ© et Ă  l’artisanat. »

Howell supervise toujours la marque Margaret Howell, qui a patiemment Ă©voluĂ© pour devenir un rĂ©seau tentaculaire d’excellence modeste.
Il y a les lignes principales pour hommes et femmes, la sous-marque MHL — de plus en plus aventureuse mais toujours excellente —, et les collaborations saisonniĂšres avec des partenaires aussi variĂ©s que Mizuno et Mackintosh.

Margaret Howell est Ă©galement trĂšs prĂ©sente au Japon, oĂč le nom de la crĂ©atrice quasi octogĂ©naire est apposĂ© sur toutes sortes de produits, des cafĂ©s aux articles mĂ©nagers. Pour une marque aussi modeste que celle de Margaret Howell, il s’agit lĂ  d’une activitĂ© d’une portĂ©e considĂ©rable, mais aussi d’une dĂ©marche tout Ă  fait logique. Le Japon aime l’hĂ©ritage. Le Japon aime la qualitĂ©. Howell incarne les deux.



On en revient toujours aux classiques, comme en tĂ©moignent les modĂšles « d’archives » de la ligne automne-hiver 2025 de Howell.
« Je reviens souvent aux piĂšces d’archives lorsque quelque chose me semble particuliĂšrement bien fait, bien proportionnĂ©, ou simplement d’une qualitĂ© qui rĂ©siste Ă  l’épreuve du temps », explique-t-elle. « Probablement parce qu’il s’agit d’une continuation de la mĂȘme approche. Il ne s’agit pas d’un thĂšme, mais de la fabrication de vĂȘtements fonctionnels avec une touche contemporaine. »
Les bons vĂȘtements ne meurent jamais.

Howell connut un moment de cĂ©lĂ©britĂ© indĂ©lĂ©bile quand Jack Nicholson dĂ©cida de porter ses propres vĂȘtements pour le film The Shining de Stanley Kubrick, dont une veste Howell en velours cĂŽtelĂ© rouge.
Il s’agit d’une superbe piĂšce, immĂ©diatement portable et intemporelle ; intelligente, aussi, car elle combine une couleur dĂ©licate (le rouge) Ă  un tissu (le velours cĂŽtelĂ©) pour obtenir un vĂȘtement polyvalent, ni trop voyant ni trop guindĂ© : une petite synthĂšse miraculeuse de la tranquillitĂ© selon Margaret Howell.
« Dans les annĂ©es 1970, je fournissais Maxfield Bleu, un magasin de Los Angeles, et je fus ravie d’apprendre que l’un de mes acteurs prĂ©fĂ©rĂ©s, Jack Nicholson, avait achetĂ© un coupe-vent en velours cĂŽtelĂ© (le modĂšle M025). Quelque temps plus tard, je fus Ă©tonnĂ©e de recevoir une commande de la sociĂ©tĂ© de production de Stanley Kubrick pour des rĂ©pliques de vestes Ă  utiliser dans le film The Shining, puisque Nicholson avait choisi de porter sa propre veste pour jouer le rĂŽle de Jack Torrance. »


Lorsque Margaret Howell fait revivre ce style de veste — ce qu’elle ne fait qu’occasionnellement — elle ne réédite pas une reproduction Ă  l’identique. Populaire ou non, chaque vĂȘtement tirĂ© des archives est mis au goĂ»t du jour. L’ñme du vĂȘtement, ce qui l’a rendu si bon au dĂ©part, reste intacte, mĂȘme si ses poches sont dĂ©placĂ©es ou ses manches Ă©largies.
« Lorsque nous revisitons un style d’archive, nous l’examinons attentivement, en ajustant la coupe, le tissu ou les dĂ©tails afin de l’intĂ©grer naturellement Ă  la collection sans donner l’impression d’une simple reproduction », explique-t-elle. « Il n’est jamais question de nostalgie, mais plutĂŽt de reconnaĂźtre un bon design et de le rĂ©actualiser d’une maniĂšre qui reste pertinente. »

DĂšs lors, on ne s’étonnera pas que les jeunes crĂ©ateurs de bons vĂȘtements se rĂ©fĂšrent si ouvertement Ă  l’Ɠuvre de Howell et fassent de ses mantras les piliers de leurs marques.

« Un bon tissu, une bonne coupe, et un port agrĂ©able : ces choses-lĂ  ne deviennent pas obsolĂštes », dit-elle. « En fin de compte, il s’agit de faire des choses qui rĂ©sistent Ă  l’épreuve du temps. »

Lecture à recouper avec l’article de @Fatigue :

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Traduction de l’article https://www.propermag.com/?p=105529 :

Henri Lloyd : des mers salées aux rues de la ville

Henri Lloyd est l’une des rares marques qui rĂ©ussit Ă  exister dans deux mondes Ă  la fois. FondĂ©e Ă  Manchester en 1963, elle a d’abord Ă©tĂ© une force pionniĂšre des vĂȘtements marins performants. Sa ville d’origine n’est certes pas nichĂ©e sur la cĂŽte, mais quiconque connaĂźt son histoire conviendra que cela n’est pas un obstacle. Le canal maritime de Manchester en est la preuve.

L’histoire d’Henri Lloyd commence avec Henri Strzelecki, un ancien combattant polonais qui Ă©lut domicile Ă  Manchester aprĂšs la Seconde Guerre mondiale. Fort d’une expĂ©rience dans le textile et d’un sens aigu de l’innovation, Henri entreprit de crĂ©er un Ă©quipement capable de rĂ©sister aux conditions brutales de la haute mer. À cette Ă©poque, l’équipement outdoor Ă©voluait rapidement et les tissus techniques n’en Ă©taient qu’à leurs balbutiements. Henri Lloyd fut l’un des premiers Ă  introduire des coutures Ă©tanches, des fermetures Ă©clair en nylon qui ne se corroderaient pas dans l’eau salĂ©e et des fermetures Velcro pour des ajustements rapides - autant de caractĂ©ristiques qui semblent standard aujourd’hui mais qui Ă©taient rĂ©volutionnaires Ă  l’époque.

La marque gagna rapidement ses galons auprÚs des marins professionnels et, dans les années 70, elle devint la référence pour des skippers de renommée mondiale tels que Sir Francis Chichester et Sir Robin Knox-Johnston, ce dernier étant la premiÚre personne à avoir fait le tour du monde en solitaire et sans escale.

Comme pour tout bon Ă©quipement technique, il ne fallut pas longtemps pour que l’attrait d’Henri Lloyd s’étende au-delĂ  de sa zone de confort.

Dans les années 80 et 90, ses designs épurés, ses matériaux de qualité supérieure, et son branding subtil, en firent un produit de base pour les jeunes soucieux de leur style, en particulier au milieu des années 80. Adoré des Paninari, Henri Lloyd entama un parcours qui échappa à son contrÎle et finit par cÎtoyer des marques telles que Stone Island et C.P. Company. La veste Consort, en particulier dans sa version RWR, devint une icÎne discrÚte, appréciée pour son design minimaliste mais fonctionnel. Les tonalités maritimes trouvÚrent une fois de plus leur place loin de leur élément, comme à Milan, devenu un haut lieu de ce look mémorable. La collaboration avec le designer italien Olmes Carretti contribua sans doute à ce détournement.


Quand les annĂ©es 80 firent place aux annĂ©es 90, Henri Lloyd commença Ă  faire des vagues plus prĂšs de chez lui, dans son nord-ouest natal de l’Angleterre. Toujours aux cĂŽtĂ©s de ses homologues italiens, cette double identitĂ© ne fut jamais aussi forte que dans les annĂ©es 1990 : alors qu’Henri Lloyd continuait Ă  fabriquer du matĂ©riel de voile primĂ©, il devenait omniprĂ©sent sur les terrasses de la terre ferme.

Tout cet historique s’accompagne d’attentes Ă©levĂ©es pour les gardiens de la marque. Il est donc tout Ă  fait appropriĂ© que pour sa collection printemps-Ă©tĂ© 2025, Henri Lloyd dĂ©bute un nouveau voyage avec Kestin Hare au gouvernail. Le parcours de Kestin est jalonnĂ© de marques heritage ayant basculĂ© dans le monde de la mode. AprĂšs avoir fait ses classes chez Nigel Cabourn et Barbour, il collabora avec Berghaus, et il peut maintenant ajouter Henri Lloyd Ă  son illustre CV.

Cette premiĂšre collection avec Kestin Ă  la barre apporte une vision rafraĂźchie, dans le respect des valeurs dont Henri Lloyd est imprĂ©gnĂ©, mais aussi avec des expĂ©rimentations de bon goĂ»t Ă  travers les tissus et les couleurs. Il est vrai que l’histoire d’Henri Lloyd a traversĂ© des eaux agitĂ©es au cours de la derniĂšre dĂ©cennie, avec des changements de propriĂ©taires et plusieurs arrĂȘts/redĂ©marrages. Toutefois, l’entreprise semble aujourd’hui bel et bien remise Ă  flot, et nous sommes impatients de voir ce que l’avenir lui rĂ©serve.

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Présentations vidéo de sélections SS25 Kaptain Sunshine, Portuguese Flannel, La Botte Gardiane, et Ordinary Fits.

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Lookbook Ranra Studio, printemps-été 2025

https://ranra.co.uk/
https://www.instagram.com/ranra_studio/



















Traduction de https://www.highsnobiety.com/p/ranra-ss25/

Le gĂ©nie de RANRA : L’équipement technique en fibres organiques

La collection printemps/Ă©tĂ© 2025 de RANRA est remplie de contradictions de la meilleure espĂšce. La marque associe des styles d’artisanat apparemment incompatibles avec un effet remarquable.

Par exemple, ses vĂȘtements de travail sont entiĂšrement fabriquĂ©s en soie. Ce tissu doux et brillant, gĂ©nĂ©ralement utilisĂ© pour les pyjamas et les robes de luxe, est ici transformĂ© en vĂȘtements de travail robustes - cela n’a pas de sens, n’est-ce pas ?
Eh bien, dans l’univers de RANRA, cela en a. Sa soie rĂ©sistante n’est pas tissĂ©e comme pour le loungewear, mais dans un sergĂ© robuste et un ripstop teintĂ©, qui conservent une respirabilitĂ© essentielle pour les saisons chaudes.

Ensuite, il y a les tissus techniques, pour lesquels RANRA, en tant que marque outdoor, est bien connue. Ils sont développés par Majocchi, une entreprise italienne qui fabrique des tissus de pointe pour les marques militaires et de mode, parmi lesquelles Stone Island, The North Face et Supreme.

Les tissus, comme par exemple un nylon lĂ©ger, ont Ă©tĂ© testĂ©s en laboratoire par les ingĂ©nieurs de Majocchi pour leur soliditĂ© puis colorĂ©s Ă  l’aide de teintures naturelles pour une finition riche et irrĂ©guliĂšre. Encore une fois, une brillante contradiction dans les processus.

Ces textiles bien pensés sont appliqués aux classiques de RANRA : field jackets à poches multiples, cargo pants à fermeture éclair sur les coutures extérieures, parkas vintage transformées en couches intermédiaires riches en cordons de serrage.

C’est pourquoi la collection SS25 de la marque, disponible dans des magasins comme SSENSE, est intitulĂ©e « nĂĄttĂșra » (« naturel » en islandais, la langue maternelle du cofondateur Arnar MĂĄr JĂłnsson).

À premiĂšre vue, RANRA ne propose rien de trĂšs nouveau. La zone grise entre l’équipement outdoor et le menswear est un marchĂ© bien fourni. Cependant, les vĂȘtements fonctionnels de la marque sont Ă©purĂ©s avec une finesse rare, ce qui leur confĂšre Ă  la fois une touche artisanale et un cĂŽtĂ© explorateur.

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Lookbook Sandro, automne-hiver 2025

Vous ne l’aviez pas vu venir, celui-là 
 :smirk:











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Lookbook Brioni, automne-hiver 2025
















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Lookbook & défilé Kartik Research, printemps-été 2025
























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Si Rennes était une chaussure @Jacko :

images +


Dr Martens x Palace, sortie le samedi 12 avril

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Traduction de https://www.businessoffashion.com/news/retail/puma-ceo-arthur-hoeld-former-adidas-sales-chief/

Puma, en difficultĂ©, nomme l’ancien chef des ventes d’Adidas au poste de PDG

La marque de vĂȘtements de sport Puma a annoncĂ© jeudi que l’ancien directeur des ventes d’Adidas, Arthur Hoeld, prendrait le poste de PDG, en remplacement d’Arne Freundt, en raison de ce que la sociĂ©tĂ© a qualifiĂ© de « divergences de vues sur l’exĂ©cution de la stratĂ©gie ».

Puma peine Ă  augmenter ses ventes et sa rentabilitĂ© depuis plus d’un an. Le choix de Puma pour sa nouvelle direction est le dernier Ă©change en date entre les marques concurrentes, deux ans aprĂšs que son directeur gĂ©nĂ©ral, Bjorn Gulden, a quittĂ© le navire pour diriger Adidas dans le cadre d’un redressement rĂ©ussi.

InstallĂ©es l’une en face de l’autre Ă  Herzogenaurach, en Allemagne, les deux sociĂ©tĂ©s sont rivales depuis 75 ans, date d’une querelle entre les frĂšres Adolf Dassler, fondateur d’Adidas, et Rudolf Dassler, qui a créé Puma.

Puma a dĂ©clarĂ© que Freundt, PDG depuis novembre 2022, se retirerait le 11 avril et que Hoeld prendrait le poste de prĂ©sident-directeur gĂ©nĂ©ral Ă  compter du 1er juillet, le conseil d’administration dirigeant la sociĂ©tĂ© durant cette phase de transition.

« Je suis trĂšs heureux de rejoindre la famille PUMA en tant que nouveau PDG », a dĂ©clarĂ© Hoeld, qui a quittĂ© Adidas en octobre de l’annĂ©e derniĂšre.

Adidas a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une forte croissance des ventes en surfant sur la tendance de ses baskets Samba et Gazelle, tandis que les ventes de Puma ont Ă©tĂ© lĂ©thargiques en raison de ses difficultĂ©s Ă  stimuler l’intĂ©rĂȘt pour de nouvelles baskets telles que la Speedcat.

Le mois dernier, Puma a prĂ©venu que ses ventes pour 2025 seraient probablement infĂ©rieures Ă  celles de 2024 et a dĂ©clarĂ© que l’incertitude pesait sur les dĂ©penses de consommation aux États-Unis, qui reprĂ©sentent entre 20 et 25 % de ses ventes mondiales.

« Nous nous attendons Ă  ce que cette nouvelle soit accueillie positivement, Ă©tant donnĂ© les prĂ©occupations actuelles des investisseurs concernant la performance et l’exĂ©cution stratĂ©gique », a dĂ©clarĂ© Monique Pollard, analyste chez Citi.

Les droits de douane amĂ©ricains imposĂ©s Ă  la Chine, au Vietnam, Ă  l’IndonĂ©sie et Ă  d’autres centres de production clĂ©s ont touchĂ© les dĂ©taillants de vĂȘtements de sport, ce qui a fait chuter les actions de Puma de 10 % jeudi.

L’annĂ©e derniĂšre, Puma a sourcĂ© 28 % de ses produits en Chine, tandis que le Vietnam Ă©tait son deuxiĂšme pays d’approvisionnement avec 26 %, et le Cambodge le troisiĂšme avec 16 %.

Le cours de l’action, plombĂ© par le ralentissement des ventes, est proche de son plus bas niveau depuis neuf ans.

« Nous sommes convaincus que grĂące Ă  sa vision stratĂ©gique et Ă  l’attention qu’il porte aux produits et Ă  la marque, Arthur conduira Puma vers un nouveau chapitre de force et de croissance », a dĂ©clarĂ© HĂ©loĂŻse Temple-Boyer, prĂ©sidente du conseil de surveillance de Puma.

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Casatlantic SS 25
Ça arrive jeudi matin.
TrĂšs intĂ©ressĂ© par leurs mailles d’étĂ© et le croisĂ© en seersucker.











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Miam. Elles taillent comment leurs mailles ? TTS ? Ou il faut upsize ?
Je ne me souviens plus qui en avait achetĂ© rĂ©cemment
 peut-ĂȘtre @Romigourmi ou @JeanBono ?

Ça dĂ©pend vraiment des modĂšles , et l’an dernier ils avaient pas adapte le size guide , derniĂšrement j’en ai achetĂ© deux qui avaient le mĂȘme size guide , un est rĂ©partis parce que trop moulant et j’ai downsize le second parce que trop grand ^^ .
Donc en gros pour moi l’upsize c’est le moins risquĂ© mais bon ça peut donner un fail . Certaines piĂšces s’y prĂȘte, d’autres moins , c’est un peu la loterie IMO .

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J’en avais achetĂ© une il y a deux ans, c’était trop petit, c’était reparti.

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