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Question bĂȘte, et n’hĂ©sitez pas Ă  me dire si je suis complĂštement HS mais est ce que c’est vraiment un problĂšme que les grandes marques augmentent leur prix ? Je veux dire, j’ai entendu ça partout et c’est le gros sujet, notamment concernant les sacs Hermes. Mais quand tu peux payer 10 000€ pour un sac, est ce que 10% ça change grand chose ? Je me dis quand tu peux mettre cette somme pour un sac, est ce que le prix est simplement regardĂ© quoi. Évidemment, avec mon salaire de misĂšre, mon point de vue est complĂštement biaisĂ©. Mais pour moi l’impact sur ces marques/groupes est quasi invisible, Ă©tant donnĂ© que la clientĂšle en va pas se formaliser de dĂ©penser plus. Voir mĂȘme peut ĂȘtre au contraire, avec l’image de luxe associĂ©e au fait de payer trĂšs cher.
Bref en gros je comprends pas trop pourquoi est ce que sujet est abordĂ© comme quelque chose d’hyper impactant et qu’on en parle partout en mode alerte, au vu des multimilliardaires Ă  la tĂȘte de ces groupes qui voient leur fortune augmenter toujours plus et qui ne s’adressent pas Ă  une clientĂšle dans le besoin. Mon message n’a pas de visĂ©e politique hein, et l’impact global de l’augmentation des taxes j’ai compris. C’est vraiment cette mĂ©diatisation et dramatisation concernant les marques du luxe spĂ©cifiquement.

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le pull, la coupe que j’avais imaginĂ© pour les Nitto by Boras il y a a 3 saisons, n’est pas si Ă©loignĂ© de ce que propose le youtubeur, et c’est 140e de moins, si tu n’as pas le budget et on a un Ă©cru

on va le retravailler un peu pour la saison qui arrive normalement

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Ouais mais il Ă©tait encore un poil long pour moi
 AprĂšs t’inquiĂštes, si j’avais la thune, je pense que j’en aurais pris un (de Nitto) plutĂŽt que celui lĂ  :wink:

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Yamato s’offre un flagship au cƓur du Marais à Paris

AprĂšs avoir testĂ© le marchĂ© français en ouvrant un premier pop-up store pour commercialiser ses kimonos Ă©lĂ©gants en fĂ©vrier 2024, la griffe nippone Yamato s’installe Ă  nouveau dans le Marais Ă  Paris, cette fois avec une boutique permanente, oĂč elle revisite l’art du vĂȘtement japonais.

Direction ce quartier branchĂ© de la capitale, qui regorge de magasins de mode. Yamato vient d’inaugurer son vaisseau amiral au numĂ©ro 25 de la rue du Bourg-Tibourg, un bĂątiment historique Ă  la devanture en bois, datant du XVIIIe siĂšcle, situĂ© dans le IVe arrondissement.

Parquet Ă  chevrons, plantes verdoyantes, livres
 Ce flagship de 82 mĂštres carrĂ©s, Ă  la dĂ©co minimaliste, combine l’histoire de la bĂątisse parisienne avec une ambiance japonaise Ă©purĂ©e. Au sol, on retrouve un grand tapis gris chinĂ©, confectionnĂ© dans la prĂ©fecture de Yamagata au Japon, et au plafond, des panneaux lumineux en papier washi blanc originaires de la prĂ©fecture de Saga.

Faire un « pont Â» avec les autres cultures

Une premiĂšre expansion en dur, hors du Japon, pour cette maison d’hĂ©ritage, qui cherche Ă  sĂ©duire le marchĂ© tricolore avec ses piĂšces sophistiquĂ©es twistĂ©es par des dĂ©tails contemporains comme des motifs fleuris, dont la gamme de prix est comprise entre 370 et 1.300 euros. En complĂ©ment des kimonos, Yamato y expose ses pantalons ou encore ses vestes satinĂ©es brodĂ©es dans le dos, dont les amateurs de pop culture sont friands.

Dans cette premiĂšre boutique en propre, qui a Ă©tĂ© dessinĂ©e par le designer japonais ​Kuniyuki Okuyama, la marque fondĂ©e en 1917 Ă  Tokyo a scindĂ© l’espace en deux univers distincts (rĂ©partis sur deux Ă©tages) pour mettre en lumiĂšre ses deux offres: les labels ​Kimono Arch (auparavant baptisĂ© Kimono by Nadeshiko) et Y. & Sons.

« Nous voulons changer la perception du kimono, qui est encore largement vu comme un vĂȘtement traditionnel, pas seulement aux yeux des Japonais, mais pour les personnes du monde entier, quels que soient leur nationalitĂ©, leur genre, leur Ăąge et leurs capacitĂ©s physiques Â», a soulignĂ© dans un communiquĂ© de la marque Takayuki Yajima, le PDG du groupe Yamato.

En prĂ©sentant Ă  Paris les collections printemps-Ă©tĂ© 2025 de Kimono Arch (fondĂ©e en 2004) et Y. & Sons (lancĂ©e en 2015), l’entreprise japonaise veut ainsi cĂ©lĂ©brer le potentiel versatile du kimono, en le repositionnant comme un essentiel de la garde-robe contemporaine, un vĂȘtement facile Ă  entretenir, « aussi polyvalent qu’un t-shirt blanc Â», et qui peut ĂȘtre associĂ© Ă  de nombreux accessoires, afin de faire un « pont Â» avec les autres cultures.

« Par le biais d’échanges culturels, en s’inspirant des vĂȘtements ethniques traditionnels et de l’artisanat du monde entier, nous cherchons Ă  relier le Japon et le reste du monde par le biais du kimono Â», ajoute le dirigeant, petit-fils du fondateur de l’entreprise tokyoĂŻte.

CÎté accessoires, on retrouve pléthore de piÚces créées par des griffes japonaises, comme des chapeaux taillés dans des tissus de kimono signés Kijima Takayuki, des souliers Aurora Shoe, des sandales de Jutta Neumann New York, de la maroquinerie de 52 By Hikarumatsumura, des chaussettes tabi de Kiwanda, ainsi que des parapluies de Fox Umbrellas et des portefeuilles griffés Comme des Garçons.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Yamato-s-offre-un-flagship-au-coeur-du-marais-a-paris,1723791.html

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Bon déjà ils ne se sont pas installés dans le 16Úme, ils ne partent pas avec un handicap.
Je n’y suis pas encore allĂ© personnellement mais cela ne saurait tarder.

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Traduction de https://www.propermag.com/?p=105815

Selon l’histoire que l’on veut bien croire, les maillots de rugby sont sorties des sentiers battus bien avant que le jeu pour les brutes huppĂ©es ne devienne professionnel ici au Royaume-Uni. Peu de vĂȘtements ayant un tel lien avec l’élite deviennent vraiment cool et, le rugby Ă©tant le jeu traditionnel des Ă©coles privĂ©es, il peut ĂȘtre surprenant de le voir devenir un basique de la garde-robe. Mais, comme toujours, c’est lorsque le maillot de rugby a Ă©tĂ© dĂ©tournĂ© qu’il est devenu vraiment cool.

L’histoire raconte que le leader visionnaire de Patagonia, Yvon Chouinard, dĂ©nicha un maillot de rugby Umbro lors d’une escalade en Écosse et qu’il le trouva idĂ©al pour ses activitĂ©s de plein air. Il n’est pas le seul Ă  l’avoir adoptĂ©. Le maillot de rugby a Ă©galement Ă©tĂ© apprĂ©ciĂ© par les cercles preppy amĂ©ricains, partageant peut-ĂȘtre les mĂȘmes caractĂ©ristiques de formalitĂ© sportive qui ont rendu les polos aussi vĂ©nĂ©rables.

Mais c’est le lien avec escalade qui semble le plus pertinent ici. Les hippies tĂ©mĂ©raires furent les premiers Ă  utiliser des maillots de rugby sur les parois. Le col en sergĂ© de la plupart des maillots de rugby traditionnels constitue une protection idĂ©ale contre les brĂ»lures de corde au niveau du cou et la durabilitĂ© gĂ©nĂ©rale d’un maillot de rugby le rend parfait pour les bosses et les Ă©raflures qu’un grimpeur peut rencontrer au cours de son ascension. En fait, ce vĂȘtement classique a depuis longtemps transcendĂ© le rugby, Ă  tel point que les connotations rugbystiques doivent probablement ĂȘtre mises de cĂŽtĂ© pour toujours. En tant que personne profondĂ©ment anti-rugby, je pourrais lancer une campagne pour que cela se produise. Et si c’est le cas, le type de maillots de rugby fabriquĂ©s par Withernot serait au cƓur d’une telle campagne.

Ils reprennent toutes les caractĂ©ristiques qui ont popularisĂ© ce vĂȘtement magnifiquement robuste et en construisent de nouvelles versions, avec la mĂȘme esthĂ©tique intemporelle. De nombreuses marques amĂ©ricaines et japonaises font un travail remarquable pour prĂ©server l’histoire de la mode en reprenant des vĂȘtements de travail d’époque, et Withernot s’inscrit dans la mĂȘme veine, mais avec le maillot de rugby au cƓur de son activitĂ©.

Comme tous les meilleurs articles de votre garde-robe, ces maillots de rugby vieilliront plus gracieusement que vous, en cumulant des annĂ©es d’usure et en s’amĂ©liorant Ă  chaque sortie.

https://withernot.com/
https://www.instagram.com/withernot/

$125 le maillot
environ 40 couleurs dispo

J’ai glissĂ© un MJ dans le lot ci-dessous pour faire plaisir Ă  @Mood.Indigo et @Boras.




















fitpics Withernot
















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Ce tacle gratuit Ă  Parks

Je la tente façon @gilead
Lookbook Berg&Berg SS25

Résumé








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Y’en a qui bossent chez Havas par ici ? Juste par curiositĂ©

purĂ©e si j’étais encore dans la rĂ©gi eoĂč j’étais, vu que j’avais en prote-feuille, mondadorie, GMC et reworld, dans une dimension parallĂšle, j’aurias eu Ă  gĂ©rer ces campagnes !

je me serais fait un plaisir de tout diffuser hors caadre, ni vu ni connu ^^

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cette photo mythique de MJ, à m’en faire presque aime rle slim ^^

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Deux copains chez eux. Pourquoi ? Pour s’indigner vertueusement de la campagne de pub ?

TrĂšs cool tout ca mais c’est distribuĂ© ou pour la France ?

Bien évidemment :nerd_face:

IntĂ©ressant ! Il ont l’air un poil plus lĂ©gers que les Barbarian par contre.

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nulle part

J’ai partagĂ© pour l’exhaustivitĂ© et au cas oĂč un drakophile Ă©garĂ© dĂ©ciderait de faire le cobaye pour la commu (code « EXPLORE Â» pour une remise de 15 %).

Ce n’est pas forcĂ©ment une mauvaise chose, Ă  condition que le tissu se tienne bien (les feedbacks le laissent penser).

Sans transition :


 un petit entretien avec une ancienne collaboratrice de Massimo Osti (feu designer de C.P. Company et Stone Island, entre autres). ParticuliĂšrement intĂ©ressant pour l’aperçu donnĂ© du processus crĂ©atif. Extrait :

Are you okay to tell us about the archive that Massimo Osti worked with?

Yes there was a huge archive.

Initially, we kept the clothes in the studio, in a large area with mezzanines upstairs, but then there was not enough space, so we arranged to create container cupboards in the garden of the studio.

When I arrived, there were about 11,000 garments, over the time I worked there, that number more than doubled. There was everything: astronaut suits, wetsuits, work clothes of any kind, golf bags, tennis bags, all manner of sportswear, baseball t-shirts, amphibious vests, military & air force clothing, helmets and aviator goggles.

There were accessories and clothing from anywhere and everywhere in the world. Every single research item that entered the studio was photographed in detail (with a camera connected to the computer) these were then accompanied by a description that contained notes on the origin, the type of fabric and the location to be able to find it physically. This was so the designers could consult the computer archive and quickly do targeted research. Once visually identified, the physical recovery of the garment was carried out, and it then served as a sample for modelling and prototyping.

L’article m’a rappelĂ© que je voudrais mettre la main sur un exemplaire du bouquin « Ideas from Massimo Osti Â» (2012), mais les prix en ligne de l’édition originale flambent de plus en plus. Heureusement, le Studio Massimo Osti — qui conserve son fond d’archives — a rééditĂ© une version directement disponible sur leur website https://massimoosti.com/en/ideas-from-massimo-osti/?country=fr&sku=NSMPPP0BKMOSIDEAS000-UNI (69€ fdpin). Bon, c’est un format brochĂ© Ă  couverture souple, mais c’est toujours mieux que rien.

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Merci pour le livre M.O, je savais pas qu’il avait Ă©tĂ© rééditĂ© dans un nouveau format !

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Lookbook Eat Dust, printemps-été 2025

https://www.eatdustclothing.com/pages/campaign-tangier-in-the-rain-ss-25
(contrairement Ă  ce que peut laisser penser le nom de la campagne, les photos n’ont pas Ă©tĂ© prises Ă  Tanger mais en Afrique du Sud)





















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Lookbook Graphpaper, automne-hiver 2025

https://graphpaper-tokyo.com/
https://www.instagram.com/graphpaper_official/















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Tu l’as testĂ© ? Je me rappelle l’avoir essayĂ© et il Ă©tait beaucoup plus court que ce qui est annoncĂ© sur le size guide, il devait faire 60/62 cm de long en S.