Tu participes souvent à des réunions d’industry leaders ?
Le plus drôle c’est que peut-être bien que oui.
Mais comme ils sont bretons ils s’habillent mal.
Boire un verre de champagne avec @G.G est considéré comme une réunion d’industry leaders?
J’ai malheureusement snobé son champagne, ne buvant pas d’alcool.
Comment devient-on ami de la marque ? C’est pour un pote…
Merci de te renseigner pour moi
C’est tellement beau
@G.G tu vois qu’on peut faire des shooting avec des mecs qui sourient, bougent, sont VIVANTS et que ce soit très beau, contrairement à ces blaireaux de BG. J’avoue que ce sont pas des costards de banquiers mais cette nonchalance qui reste élégante, simple, mais tellement stylée…et cette lumière (deux salles, deux ambiances)
Série la plus longue jusqu’à présent, avec Jon Paul Philips, acteur et mannequin anglais. Une cinquantaine de photos prises au Maroc (Essaouira).
N’ayant plus eu accès aux stories Insta depuis cet automne (compte bloqué pour une raison inconnue), n’hésitez pas à ajouter plus bas celles qui pourraient manquer à ma sélection. @Fennec ?
!
C’est vraiment beau.
Interlude calcéophile
Pêle-mêle, modèles :
Mocassins
Davis (beefroll penny loafers)
Cary (belgian loafers)
Relaxers (slippers)
Fellows (sandales)
Fellows Two
(figurent ci-dessus de nombreuses photos publiées en story sur le compte insta d’Adret, jamais republiées ensuite dans le feed principal … ce qui suffit à faire de ce post la plus grosse archive Adret footwear disponible sur internet )
Séries avec Vlad, ami français de la marque ; une trentaine de photos prises à Java et ailleurs en Indonésie (notamment dans les bureaux et ateliers d’Adret) :
(~15 photos ci-dessus furent publiées en story, et ne sont donc pas disponibles dans le feed principal du compte Instagram)
Film d’une minute (audio activable) :
https://imgur.com/mhPW28g
Toujours dans une démarche d’exhaustivité et d’archivage, voici des photos inédites publiées en story la semaine passée (désormais indisponibles dans le feed principal) :
@G.G la robe de chambre en cachemire, vigogne, et lin
« Smart relaxing » et " Travel in style" résume bien leur DA Imo.
On dirait une DA nostalgique d’une époque où les intellectuels anglais pouvaient se balader dans le monde d’une colonie à l’autre.
Inévitablement la mer, le bateau, la côte et leurs lumières sont souvent utilisés comme décor de ces shooting. Et puis des architectures et des contextes, un climat en contraste avec la vie à l’anglaise contemporaine.
Adam puise très distinctement son inspiration dans la mode masculine des années 30-40-50, telle que montrée dans Apparel Arts (publication destinée aux professionnels de l’époque, ancêtre de Gentlemen’s Quarterly / GQ).
Ainsi que dans la figure romantique de l’artiste-voyageur (plus esthète qu’intellectuel), effectivement très présente dans la culture occidentale des XIXe et XXe siècles.
Le recours à des tissus conçus sur des métiers manuels (en Indonésie) renvoie aussi à ce passé.
Cela dit, si cela peut te rassurer : la sensibilité idéologique d’Adam se situe me semble-t-il très à gauche (comme toi), et, à titre personnel, il ne doit nourrir aucune nostalgie coloniale. De cette période, il n’exploite qu’un imaginaire bohème, curieux de cultures exotiques et d’ailleurs, qui cherche le Beau dans son principe et permet ainsi de fusionner les influences sans hiérarchie inique, sans non plus renier ce que chacun est. La marque incarne cet idéal en étant co-dirigée par un Anglais et un Indonésien, tous deux artistes, chacun vivant dans son pays natal.