Moment culture HS ON:
Le kanji utilisé( SOKU, lecture On) pour noter la numérotation est celui que les japonais utilisent comme numéral pour les chaussures (signifie aussi pied/jambe). Les japonais sont fou en matière de numéral ils en ont une ribambelle infinie. Donc pour les chaussures vous direz issoku, nisoku, etc. (une chaussure, deux chaussures), pour les stylo (petits objet long) ippon, ni-chon, etc (un stylo, deux stylos) ou encore pour les personnes hitori, futari, etc (une personne, deux personnes) alors que les numéros se disent ichi, ni, etc. Diablement efficace dans la clareté du messag et très économe en quantité d’information sur une seule lettre mais rudement compliquer à apprendre.
Je connaissais sa lecture kun, ashi, mais pas sa lecture on, ni que c’était un compteur. Les compteurs c’est vraiment un truc bizarre, en général la langue japonaise a une grammaire super simple et très peu d’exceptions, et puis on tombe sur les compteurs et on se demande si c’est le même peuple qui a pondu ça
Les compteurs et les formules de politesse. Je suis des cours depuis un peu plus d’une année j’ai donc un niveau super basique mais c’est passionnant surtout les kanji. Je suis impressionné de l’efficacité de cette écriture et je peux passé des heures à feuilleté mon kanji to kana. (je crois que je peux dire que c’est mon gros rabbit hole du moment)
jai vraiment pas aimé… et j’ai absolument tout oublié
Après je n’aime pas spécialement leur culture, et plus je bosse avec eux, plus ils me rendent ouf ( 10 piges que je bosse avec le japon de manière journalière)
Tu verrais l’état de mon kanji to kana acheté il y a 25 ans L’équivalent d’un beau jean brut bien poncé comme il faut ! C’est une référence ceci dit, pas une méthode d’apprentissage. Les jeunes japonais apprennent à écrire jusqu’au bac, et ils ont des manuels année après année qui avancent par complexité du vocabulaire. Les japonais ayant vécu à l’étranger que j’ai connus m’expliquaient qu’ils oubliaient super vite ; la lecture, ça va, mais l’écriture, deux ans sans pratiquer et tu ne peux plus écrire un texte complexe. J’aime le Japon et sa culture en sachant que je lui resterai toujours étranger, et comme l’écrit @Tyqdip, bosser avec eux, c’est une expérience… C’est sportif ce que réussissent à faire BG ou Borali, d’arriver à contracter avec des artisans japonais.
Il me semblait que la matière de votre noragi en collab était tissée par ce que je qualifierais d’artisan, en tout cas c’est ce que j’ai retiré de l’article de présentation.
Oui le kanji to kana s’approche plus d’un dico que d’un manuel. Pour les cours on a le manuel Maruto mais pour le moment très orienté hiragana et katakana, je trouves dommage de ce prier des kanji alors je fais mes petites découvertes de mon côtés (je regarde pas mal de vidéo de Julien Fontanier, sa méthode pédagogique me parle)
c une grosse boite japonaise spécialisée dans l’ilportation qui gère ça
et qui nous avait organisé la journée avec cette pettie usine à l’ancienne
on a pas eu d’échange pro ou autre (et heuresement, on aurait rien pu en faire, même le japonais interprète qui bossait pour la grosse boite ne captait rien ^^)
ce que je veux dire, c’est que acheter des rouleaux à un grossite ou à une usine de matière, ce n’est pas ce que j’appelel travailler avec des artisants
(le denom maker de la noragi borali, c’est déjà lus physique oui)
Le logo Nike (entre autres) n’est pas repris donc on ne peut pas juridiquement parler de contrefaçon.
Et on ne peut pas non plus juridiquement parler d’imitation car la ressemblance n’est pas de nature à créer une confusion dans l’esprit du consommateur
Un peu bullshit cette réponse, utiliser la numérotation 1sur X c’est courant dans l’automobile sur les series « limités » pour se laisser la porte ouverte au cas où ca se vend bien ! (de plus en plus d’ailleurs)
Merci pour les infos.
Mon post c’était juste pour illustrer, moi perso je m’en fous que BG recopie, s’inspire, plagie, imite (rayer la mention inutile) de Nike. Si c’est bien fait et que ça plait, c’est cool.
Dans mon boulot (ingénierie de batiments industriels), chaque nouveau projet est plus ou moins un copié/collé d’un projet précédent, qui sort soit de nos archives, soit des archives d’un autre bureau d’études dont les plans sont tombés entre nos mains « par le fruit du hasard ». Et personne ne voit rien à y redire. Au final, y’a juste le logo du client au dessus de la porte d’entrée qui change (je caricature un peu, mais c’est pas loin de la réalité).