🎞 Cinema fermĂ©

j’ai vu adam driver j’ai dit banco
j’y suis allĂ© les zieux fermĂ©s et ce fut surprenant, c’est space mais perso j’ai bien kiffĂ©. c’est pas du holy motors mais dans la mĂȘme vague que ce qu’il faisait.

titane, je dirais pas qu’il mĂ©rite la palme d’or (je suis sorti de true mothers lĂ  et clairement j’aurais prĂ©fĂ©rĂ© celui lĂ ) mais c’est couillu comme second film. en mĂȘme temps elle avait une pression gigantesque.

onoda c’est looooooooong mais ça passe assez vite, l’histoire de base est dĂ©lirante et je suis surpris que ça n’ait pas Ă©tĂ© adaptĂ© avant.

prochain sur la liste pour moi:
-loi de téhéran
-first cow
-le soupir des vagues
-pour l’éternitĂ©
-zazie dans le métro
-milla
-l’indomptable feu du printemps
-berlin alexandreplat

et y’a le nouveau ryusuku hanamaguchi qui sort le 18 aout, drive my car un truc comme ça. j’ai vu la b.-a. ça a l’air bien cool.

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TrĂšs chaud pour Drive my car et le film Berlinois aussi !

@pili Onoda tu vas aimer je pense, c’est trĂšs bien fait. Titane c’est spĂ© mais ça vaut vraiment le dĂ©tour au cinĂ© imo. J’ai beaucoup aimĂ© dĂ©signĂ© coupable hier (assez classique mais trĂšs bien fait et Tahar Rahim :heartbeat:)

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Je pose ça la. Film qui m’a marquĂ© Ă  l’époque. Truc indĂ© fait avec les moyens du bord (25K $), dont une camĂ©ra bricolĂ©e et une voiture upgradĂ©e qui crache du feu et distribue du whisky. Film d’amour avec phase paradis puis enfer.

Si jamais ya des curieux :ok_hand:

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La derniĂšre pub Chocapic m’a interpellĂ©, je me suis dit direct : ils ont embauchĂ© Aardman pour rĂ©aliser la pub, pas manquĂ©. Je sais pas si ya des fans hardcore comme moi de Wallace & Gromit mais ça m’a fait plaisir de nous voir croquĂ©s en « argile » par les british.

« Chocapic, la marque de cĂ©rĂ©ales iconiques du groupe NestlĂ©, dĂ©voile sa nouvelle signature de marque « Chocapic drĂŽlement plus responsable » dans une campagne internationale Ă©co-conçue par McCann. Renouant avec la saga bien connue « Et paf ça fait des Chocapic », le film rĂ©alisĂ© par les studios Aardman met en scĂšne la dynamique mascotte Chocapic Ă  la ferme. Une joyeuse mise en lumiĂšre des engagements de la marque en faveur d’un meilleur petit-dĂ©jeuner, pour la santĂ© et pour la planĂšte et les hommes, avec un blĂ© cultivĂ© de maniĂšre locale et durable et l’amĂ©lioration de ses recettes affichant aujourd’hui un Nutri-Score B. Pour aller jusqu’au bout de la dĂ©marche Ă©coresponsable, les Studios Aardman ont poussĂ© encore plus loin leurs mĂ©thodes habituelles, en s’assurant qu’une exigence d’écoresponsabilitĂ© soit au centre de chaque Ă©tape de la production de cette campagne. Ce que nous rĂ©vĂšle le making of : de la modĂ©lisation des personnages, rĂ©alisĂ©s en bois et en argile, peints Ă  la main et habillĂ©s avec des chutes de tissus, Ă  la fabrication des dĂ©cors en matĂ©riaux recyclĂ©s, du bois, du carton et des fibres, jusqu’à l’électricitĂ© 100 % verte utilisĂ©e pour alimenter les camĂ©ras et l’éclairage, tout a Ă©tĂ© pensĂ© pour que la production soit aussi unique que respectueuse de l’environnement. Le film publicitaire a ainsi obtenu la certification Albert, qui fait autoritĂ© en matiĂšre de durabilité ».

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Ça fait toujours « rire » de voir NestlĂ© parler de responsabilitĂ© Ă©cologique mais bon
 La pub et trĂšs cool, on ne leur enlĂšvera pas ça !

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c’est surtout a prendre a taille d’industrie cette « responsabilitĂ© Ă©cologique Â» et vis a vis des acteurs du meme secteur.

Si on fait une comparaison par rapport au producteur local c’est Ă©videmment un monstre d’ultra consommation / pollution.

Vu qu’espĂ©rer la disparition de ce genre de groupe relĂšve de l’inenvisageable autant « apprĂ©cier Â» la dĂ©marche sans pour autant consommer le produit. Et ça fait tafer le petit monde de la production visuel joliment

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Ouais moi j’étais content de voir ce genre de savoir faire Ă  la tĂ©lĂ©, Ă©tant un grand fan de ce qu’ils font en stop motion.

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Vu ça et franchement un de mes films prĂ©fĂ©rĂ©s de ces derniers mois. Ça transpire tout l’amour de Soderberg, pour le genre, pour les gueules, pour l’AmĂ©rique des loosers (souvent pas si cons que ça
), pour le cool

Avec toujours un sacré talent pour créer des intrigues avec pas grand chose.

Plus le temps passe et plus je me dis que Soderberg c’est un de mes petits favoris.

Un de ces auteurs qui pourraient paraitre un peu banals et irréguliers, mais qui a su néanmoins instiller beaucoup de personnalité et de sincérité dans des films autrement trÚs ancrés dans le paysage hollywoodien et le grand divertissement, avec un éclectisme et une ferveur louables.

Une dĂ©marche qui parle beaucoup quand comme moi on se sent un peu lĂ©sĂ©, entre un cinĂ©ma d’auteur qui se sent souvent obligĂ© de se couper de ses spectateurs et une production Ă  gros budget qui ne se lasse pas de tourner en boucle.

Pour ceux qui ont loupĂ© les derniers films du real il faut voir Logan Lucky (gros kiff celui lĂ ) et Unsane aussi, qui sont un peu passĂ© inaperçus mais qui valent le coup. Ses deux coups d’essais sur les plateformes de streaming sont beaucoup moins bons pour le coup, mĂȘme si j’ai beaucoup d’affection pour Let them all talk, pour le plaisir de voir Meryl Streep improviser comme jamais.

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Mais tellement ! C’est un rĂ©alisateur brillant mais discret, il est tellement Ă©clectique tout en restant cohĂ©rent avec sa mise en scĂšne. Je me suis fait la mĂȘme rĂ©flexion derniĂšrement quand je me suis rendu compte que j’aimais quasiment tous ses films.

Au sujet de Logan Lucky (kiff absolu pour moi aussi :heart:), je ne peux que te conseiller le podcast de François BĂ©gaudeau, « La GĂȘne OccasionnĂ©e », il y consacre un Ă©pisode sur le film :

https://podcasts.apple.com/fr/podcast/la-gĂȘne-occasionnĂ©e/id1482640266?i=1000507076362

Personnellement je n’arrive pas Ă  me lasser d’Ocean’s Eleven, j’ai arrĂȘtĂ© de compter le nombre de visionnage mais Ă  chaque fois je suis Ă©merveillĂ© devant la maestria de l’exercice qui concilie Ă  la fois un trĂšs grand divertissement grand public et une Ɠuvre cinĂ©matographique aussi riche sur de multiples aspects.

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Cette affiche ! :heart_eyes::heart_eyes:

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J’ai toujours peur quand je vois Nicolas Cage sur une affiche :thinking:

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Comme d’habitude sono sion c’est trĂšs intriguant, t’es toujours un peu excitĂ© avant d’entrer dans la sale, mais t’es souvent un peu déçu en sortant

À voir

Et le pitch sorti de l’enfer :
Rob, un chasseur de truffes vivant dans l’Oregon, doit retourner Ă  Portland lorsque son cochon truffier est enlevĂ©. Il devra alors se confronter Ă  son passé 

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Ça je suis vraiment curieux
De toute façon tous les Nicholas cage movie je vais les voir, mĂȘme quand ce sont des daubes immondes tu passe toujours un bon moment

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C’est le vrai pitch du film


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Je pose ça là
7 films français sortis ces derniers mois
Certains que j’ai aimĂ© d’autres un peu moins
Mais 7 propositions de cinéma hyper intéressantes
Des premiers films, du genre, de l’auteur, du docu

Si vous avez moyen de les voir et de les soutenir d’une maniùre ou d’une autre franchement foncez
C’est important de montrer qu’il y a un public pour autre chose que les comĂ©dies beauf ou des drames dĂ©pressifs en France, surtout dans le contexte actuel

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En parlant de films français, pas encore eu le temps d’aller en salle mais j’ai regardĂ© derniĂšrement les deux premiers films d’Antonin Peretjatko.


Alors clairement c’est particulier on peut dire. La mise en scĂšne est atypique mais c’est vraiment par le montage que les films dĂ©notent.
Le rythme impose son humour, les acteurs s’en donnent Ă  cƓur joie, le sous propos est dĂ©licieux d’ironie et il y a des moments de grĂące absolue (la scĂšne du diapo dans « La Fille du 14 Juillet » :ok_hand::heart:).
Je vous encourage vraiment Ă  voir ses films car son approche radicale de la comĂ©die apporte un vent de fraĂźcheur et est une proposition de cinĂ©ma rarement vu ailleurs, accrochez-vous un peu si vous n’avez pas l’habitude de ce genre de film car le rĂ©sultat en vaut la peine.

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C’est sur que dans le paysage d’un cinĂ©ma de comĂ©die français gonflĂ© Ă  bloc au cynisme et Ă  la complaisance, on n’a pas l’habitude de voir des auteurs s’exprimer avec autant de sincĂ©ritĂ© et de simplicitĂ©.

Quel plaisir de voir un auteur comique enfin oser faire de la mise en scÚne, oser donner de la confiance à ses acteurs, à ses personnages, à ses décors, oser construire du burlesque physique et des gags visuels, oser de vrais moments de poésie
 bref faire du cinéma bordel !

Il n’y a guerre que Dumont et Dupieux qui ces derniĂšres annĂ©es ont su proposer des choses aussi fraiches en terme de comĂ©die

Une des révélations les plus prometteuses de ces derniÚres années pour moi

Et franchement le couple Vimala Pons / Vincent Macaigne quel génie


PS. Des goĂ»ts de cinĂ©ma qui me parlent jusqu’ici mon cher @G.G :smirk:

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Pas vu la Fille du 14 juillet, mais la Loi de la Jungle vaut son pesant de cacahuĂštes.
On dirait un pastiche de comedie fauchée des années 70 je trouve.

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