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Traduction de https://www.eyecmag.com/news/2025/5/15/engineered-garments-and-clarks-originals-look-to-the-desert-trek-for-inspiration

Engineered Garments et Clarks trouvent une inspiration commune dans le modĂšle Desert Khan




HabituĂ© aux collaborations dans le domaine de la chaussure, Daiki Suzuki s’associe pour la deuxiĂšme fois Ă  Clarks Originals, en s’inspirant cette fois-ci de la Desert Khan.

Des cuirs de qualitĂ© supĂ©rieure donnent vie Ă  un classique de Clarks Originals, tout en insufflant la touche distinctive d’Engineered Garments dans chaque point de couture. Trois variantes de la Desert Khan sont disponibles en cuir suĂ©dĂ© marron, en cuir noir lisse et en cuir velu Ă  imprimĂ© lĂ©opard, avec des kilties amovibles pour une touche militaire, en rĂ©fĂ©rence Ă  l’affinitĂ© de Suzuki pour les uniformes. La semelle Vibram ultra-durable Ă  crampons assure une traction stable et donne une allure utilitaire. Les touches finales sont apportĂ©es par des attaches et des semelles intĂ©rieures portant le logo triangulaire de la marque.

Le graphisme de la campagne a Ă©tĂ© orchestrĂ© par Gaku, graphiste et collaborateur de longue date d’Engineered Garments, qui souhaitait reproduire les illustrations des publicitĂ©s Clarks d’époque, afin de capturer l’hĂ©ritage de la marque britannique.

Détails de la sortie :
Quand ? Disponible le vendredi 16 mai.
Combien ? $220
OĂč ? Sur les eshops de Clarks Originals et de Nepenthes, ainsi que dans les boutiques physiques.

www.engineeredgarments.com | www.clarks.com







5 « J'aime »

Présentation de Good Life et son catalogue.

13 « J'aime »

Je les ai vu passer sur insta, les marrons j’aime grave. Mais bon elles sortiront mĂȘme pas Ă  ma taille


En France, plus de 3.000 magasins perdus dans le secteur mode en cinq ans, selon une étude

Depuis le dĂ©clenchement de la crise sanitaire en 2020, le secteur de l’habillement en France a connu une soixantaine de dĂ©faillances. Et, depuis le dĂ©but d’annĂ©e, pas moins de six chaĂźnes de mode sont concernĂ©es par une procĂ©dure judiciaire, telles que Jennyfer, CafĂ© Coton et Kaporal. Selon une Ă©tude du cabinet de conseil en immobilier Newmark, le parc d’enseignes du secteur comptant au moins 30 magasins dans l’Hexagone s’est contractĂ© de 16% en cinq ans, perdant plus de 3.000 points de vente sur la pĂ©riode, aprĂšs avoir connu un pic Ă  20.000 adresses en 2019.

https://fr.fashionnetwork.com/news/En-france-plus-de-3-000-magasins-perdus-dans-le-secteur-mode-en-cinq-ans-selon-une-etude,1731541.html

Zara active le « mode voyage Â» dans son application mobile

La principale enseigne du groupe Inditex renforce sa stratĂ©gie omnicanale avec un nouveau projet. Pour offrir une meilleure expĂ©rience aux clients de son application mobile, Zara vient d’y intĂ©grer un « mode voyage Â».
Disponible Ă  tout moment, mĂȘme hors connexion, cet outil permet aux utilisateurs d’accĂ©der Ă  des guides de voyage, des conseils et des recommandations de musĂ©es Ă  visiter, de restaurants et d’hĂŽtels dans diffĂ©rents pays, dont l’Italie, le Royaume-Uni et le Japon. Les clients ont aussi la possibilitĂ© de partager leurs souvenirs de voyage, de localiser les points de vente Zara les plus proches et d’effectuer des achats en ligne depuis l’endroit oĂč ils se trouvent.

La nouvelle fonctionnalitĂ© est dĂ©jĂ  disponible dans l’application officielle de l’enseigne en activant la gĂ©olocalisation.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Zara-active-le-mode-voyage-dans-son-application-mobile,1731591.html

Loro Piana lance un programme pour soutenir les éleveurs de cachemire en Mongolie

Loro Piana s’active pour protĂ©ger sa filiĂšre d’approvisionnement en Mongolie. Avec l’explosion de la demande en cachemire et le changement climatique, la rĂ©gion et les Ă©leveurs de chĂšvres souffrent particuliĂšrement, ce qui a amenĂ© la griffe italienne spĂ©cialisĂ©e dans cette fibre noble Ă  se mobiliser. Elle lance « Resilient Threads Â» (fils rĂ©silients), « un programme sur cinq ans visant Ă  soutenir les coopĂ©ratives de cachemire, les communautĂ©s d’éleveurs et les steppes de Mongolie Â».

Active dans le secteur du cachemire depuis quarante ans, Loro Piana a investi trĂšs tĂŽt en Mongolie, oĂč elle dispose d’une usine pour la transformation des fibres de cachemire Ă  Oulan-Bator -son unique usine en dehors de l’Italie-, cette prĂ©cieuse laine Ă©tant au cƓur de son business. La Mongolie reprĂ©sente « une partie importante Â» de l’approvisionnement en cachemire de la marque, qui n’en dĂ©taille pas le volume, et se fournit aussi au PĂ©rou, en Australie et en Nouvelle-ZĂ©lande.

Ces derniÚres années, le fort engouement pour cette fibre, en particulier de la part des maisons de luxe, a engendré une surproduction et la multiplication des élevages en Mongolie.

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Or, cela s’est accompagnĂ© d’une dĂ©sertification du territoire en raison de l’augmentation des tempĂ©ratures. Comme le souligne la marque dans un communiquĂ©, la rĂ©gion est touchĂ©e « par de fortes perturbations climatiques, en particulier le dzud , une catastrophe hivernale extrĂȘme qui rend le pĂąturage impossible, limite l’accĂšs Ă  la nourriture et Ă  l’eau, et entraĂźne des pertes de bĂ©tail massives et de graves consĂ©quences sur la santĂ© humaine Â». D’oĂč l’urgence d’intervenir.

A travers son programme de soutien, qui s’aligne sur la stratĂ©gie environnementale « Life 360 Â» de LVMH, propriĂ©taire de Loro Piana depuis 2013, la marque va intervenir via une sĂ©rie d’initiatives dans cinq districts de la province mongole trĂšs vulnĂ©rable de Sukhbaatar. Au menu: des actions pour favoriser et amĂ©liorer les revenus des Ă©leveurs, l’implantation d’un centre mobile « One Health Hub Â» se rendant dans les lieux les plus reculĂ©s avec des campagnes de prĂ©vention et de vaccination, des formations et des actions de sensibilisation en matiĂšre de santĂ©, l’institution d’un centre de biodiversitĂ© pour favoriser la santĂ© des pĂąturages, la crĂ©ation d’une banque de semences pour protĂ©ger et cultiver des plantes essentielles Ă  l’écosystĂšme local.

Conçu en collaboration avec le gouvernement, les partenaires locaux et les coopĂ©ratives d’éleveurs pour identifier les besoins prioritaires, en partenariat avec la Convention des Nations unies sur la lutte contre la dĂ©sertification (CLD), la SFA (Sustainable Fibre Alliance) et l’OCT (Odyssey Conservation Trust), le projet « Resilient Threads Â» a nĂ©cessitĂ© deux ans de prĂ©paration.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Loro-piana-lance-un-programme-pour-soutenir-les-eleveurs-de-cachemire-en-mongolie,1731093.html

Loro Piana dévoile les lauréats du Knit Design Award 2025, dédié au lin

Loro Piana a annoncĂ© le 14 mai au matin, lors d’un Ă©vĂ©nement spĂ©cial Ă  la Casa degli Artisti de Milan, les laurĂ©ats de la neuviĂšme Ă©dition du Knit Design Award, dĂ©diĂ© cette annĂ©e Ă  l’hĂ©ritage du lin. LancĂ© en 2016, le concours vise Ă  promouvoir les jeunes designers et Ă  transmettre l’expertise et le savoir-faire de la maison en matiĂšre de maille.

Quatorze Ă©tudiants de sept Ă©coles de mode ont Ă©tĂ© invitĂ©s Ă  interprĂ©ter et Ă  mettre en valeur le lin grĂące Ă  leur crĂ©ativitĂ©, en l’expĂ©rimentant et en le combinant avec les fils traditionnellement utilisĂ©s par Loro Piana en hiver, afin de crĂ©er un vĂȘtement original et polyvalent. Les projets ont Ă©tĂ© examinĂ©s par un jury international, qui a choisi les deux gagnants : l’Irlandaise Morgan Rachel Boyce et l’Italien Simone Rizzato, tous deux diplĂŽmĂ©s de l’Accademia Costume & Moda.
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Le vĂȘtement conçu par Morgan Rachel Boyce et Simone Rizzato sera fabriquĂ© par Loro Piana et prĂ©sentĂ© lors de la prochaine Ă©dition de Pitti Filati en juillet.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Loro-piana-devoile-les-laureats-du-knit-design-award-2025-dedie-au-lin,1730496.html

Dick’s Sporting Goods annonce l’acquisition de Foot Locker

Comme pressenti par la presse amĂ©ricaine, Dick’s Sporting Goods procĂšde Ă  l’acquisition de Foot Locker en rachetant les actions du groupe au prix de 24 dollars l’unitĂ©, valorisant le spĂ©cialiste de la vente de sneakers avec ses 2.400 magasins dans une vingtaine de pays Ă  2,4 milliards de dollars, soit 2,14 milliards d’euros.

Les actionnaires de Foot Locker pourront choisir entre un versement en cash ou en actions Dick’s Sporting Goods. Le montant total de l’acquisition reprĂ©sente 6,1 fois l’Ebitda du groupe Foot Locker.

La direction de Dick’s Sporting Goods prĂ©cise souhaiter conserver les marques Foot Locker, Kids Foot Locker, Champs Sports, WSS et atmos, qui, lors du dernier exercice, avaient rĂ©alisĂ© un chiffre d’affaires cumulĂ© de 8 milliards de dollars.

FondĂ© en 1948 et dont le siĂšge social se trouve Ă  Pittsburgh, l’acquĂ©reur, qui a rĂ©alisĂ© un chiffre d’affaires de 13,4 milliards de dollars l’an dernier, compte plus de 850 magasins Dick’s Sporting Goods, Golf Galaxy, Public Lands et Going Going Gone! aux Etats-Unis, mais aussi des activitĂ©s en ligne et par le biais de l’application mobile Dick’s.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Dick-s-sporting-goods-annonce-l-acquisition-de-foot-locker,1730578.html

L’IA gagne en importance dans les comportements d’achat des Français

Pas moins de 31% des Français utilisent dĂ©jĂ  l’intelligence artificielle dans leur processus d’achat. Et 42% se disent prĂȘts Ă  franchir prochainement le pas. Ce que souligne une Ă©tude Adyen menĂ©e auprĂšs de quelque 13.000 consommateurs français, mais aussi auprĂšs de commerçants en tirant les consĂ©quences.

L’IA serait perçue par les consommateurs français comme vecteur de dĂ©couvertes de produits: 52% des rĂ©pondants estiment qu’elle aide Ă  trouver l’inspiration, notamment dans les produits de mode. Ils sont mĂȘme 5% Ă  juger que c’est avec l’IA qu’on trouve les meilleures idĂ©es de nouveaux produits. Et, Ă  l’avenir, 47% des rĂ©pondants comptent sur l’IA pour dĂ©couvrir des marques uniques grĂące Ă  l’IA.

L’adoption de l’IA se fait cependant Ă  des rythmes divers selon les gĂ©nĂ©rations. En un an, son utilisation a progressĂ© de 48% chez la gĂ©nĂ©ration X française (44-59 ans). Chez les plus de 60 ans, elle a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© testĂ©e par 56% des rĂ©pondants, dont 13% qui l’emploient dĂ©jĂ  pour leurs achats.

Mais c’est sans surprise par les plus jeunes que l’IA a Ă©tĂ© massivement adoptĂ©e. Pas moins de 58% des Gen-Z (16-27 ans) y ont recours, et 36% des millennials (28-43 ans) l’utilisent dĂ©jĂ  dans leur parcours d’achat. Des consommateurs français qui se disent par ailleurs Ă  55% conscients des apports potentiels de l’IA en termes de recommandations et propositions personnalisĂ©es.

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Mais cette enquĂȘte, Ă©galement menĂ©e auprĂšs de 14.003 commerçants dans 28 pays, montre Ă©galement l’importance prise par l’IA chez les commerces français. Pas moins de 29% des commerçants tricolores indiquent qu’ils comptent investir dans l’IA pour soutenir leurs ventes et leur marketing, et 27% pour accompagner l’innovation produit. Quelque 15% des chefs d’entreprises interrogĂ©s prĂ©voient de dĂ©ployer l’IA dans leur fonctionnement dans les 12 prochains mois.

Si l’IA gagne en puissance auprĂšs des consommateurs, l’enquĂȘte met Ă©galement l’emphase sur l’attachement persistant de ces derniers envers les magasins physiques. Pas moins de 53% des consommateurs français interrogĂ©s disent prĂ©fĂ©rer l’achat physique.

Cet attachement des consommateurs pour les magasins est expliquĂ©e par le panel par la possibilitĂ© de toucher et essayer le produit (42%), de s’assurer de sa qualitĂ© (39%), sans oublier la possibilitĂ© de repartir immĂ©diatement avec son achat (33%). Pour rĂ©pondre Ă  cet attachement aux lieux physiques, 13% des commerçants consultĂ©s indiquent d’ailleurs vouloir dĂ©velopper des expĂ©riences exclusives pour leurs points de vente.

https://fr.fashionnetwork.com/news/L-ia-gagne-en-importance-dans-les-comportements-d-achat-des-francais,1729603.html

Le chausseur Clergerie repris in extremis, ses employĂ©s dans l’inconnu

Le chausseur de luxe Clergerie, mis en liquidation dĂ©but avril, a finalement Ă©tĂ© repris par l’entreprise espagnole Petrel 92 SL, mais le sort de sa cinquantaine de salariĂ©s reste incertain Ă  leur grand dĂ©sarroi, a indiquĂ© une reprĂ©sentante de ces derniers mercredi Ă  l’AFP.

Le repreneur s’est manifestĂ© peu aprĂšs la liquidation de la marque emblĂ©matique française, prononcĂ©e le 8 avril par le tribunal de commerce de Romans-sur-IsĂšre (DrĂŽme), et doit garder « l’ensemble des contrats de travail des salariĂ©s Â», selon une ordonnance datĂ©e du 22 avril consultĂ©e par l’AFP, confirmant une information du DauphinĂ© LibĂ©rĂ©.

Mais la majorité des emplois des salariés ne seront finalement pas gardés, leur a indiqué par la suite en visioconférence Me Laurent Azoulai, conseil du PDG de Titan Industries, Joe Ouaknine, précédent repreneur de Clergerie, selon Valérie Treffé-Chavant, employée du chausseur et déléguée CFE-CGC, présente à la réunion.

Le conseil a expliquĂ© que le tribunal de commerce avait effectuĂ© une « mauvaise retranscription Â» de l’offre de reprise [:clown_face:], le repreneur prĂ©voyant de ne garder en rĂ©alitĂ© que 14 emplois, a expliquĂ© la dĂ©lĂ©guĂ©e Ă  l’AFP.

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Une « situation ubuesque Â» pour les salariĂ©s, dont la plupart sont Ă  Romans-sur-IsĂšre, oĂč a fermĂ© la derniĂšre usine, et qui deviennent ainsi « des fantĂŽmes, parce qu’on n’a pas de contrat de travail, on ne sait pas si on est licenciĂ© ou non, on n’a pas de paie Â», a-t-elle dĂ©plorĂ©.

Me Azoulai et le tribunal de commerce n’ont pas rĂ©pondu aux sollicitations de l’AFP dans l’immĂ©diat.

Clergerie, qui exportait ses souliers jusqu’à Hollywood lors de son Ăąge d’or, a habillĂ© les pieds de Lauren Bacall ou Madonna. Le groupe Ă©tait l’un des derniers Ă  fabriquer en France des chaussures en cuir dans son usine, tout comme Paraboot, J.M. Weston ou Heschung.

En difficultĂ© depuis des annĂ©es, l’entreprise fondĂ©e en 1981 avait Ă©tĂ© placĂ©e en redressement judiciaire en 2023 avant d’ĂȘtre reprise par la sociĂ©tĂ© californienne Titan Footwear, au prix de la dĂ©localisation d’une partie de la production et de suppressions d’emplois.

Les trois sociĂ©tĂ©s de la marque, JHJ, SSB et Tiger Mode, avaient Ă©tĂ© de nouveau placĂ©es en liquidation judiciaire aprĂšs le rejet de l’unique offre de reprise par un actionnaire par le tribunal en avril.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Le-chausseur-clergerie-repris-in-extremis-ses-employes-dans-l-inconnu,1730225.html

Reprise du Coq sportif: deux offres en lice

Deux candidats sont en lice pour reprendre l’équipementier sportif tricolore Le Coq Sportif, placĂ© en redressement judiciaire fin novembre, l’un Ă©tant inconnu et l’autre Ă©tant un consortium qui rassemble plusieurs investisseurs dont le milliardaire français Xavier Niel ainsi que le groupe amĂ©ricain Iconix (Lee Cooper, Umbro), prĂ©voyant une enveloppe de 60 millions d’euros.

La marque française en difficultĂ© - qui a Ă©quipĂ© la dĂ©lĂ©gation française lors des Jeux olympiques de Paris l’étĂ© dernier - compte prĂšs de 300 salariĂ©s en France. Elle a Ă©tĂ© fondĂ©e en 1882 Ă  Romilly-sur-Seine, dans l’Aube.

Dans un communiquĂ© publiĂ© mercredi, au lendemain de la date limite de dĂ©pĂŽt pour les offres de reprise, un consortium annonce avoir dĂ©posĂ© une offre afin de « recentrer le Coq Sportif autour de son ADN de marque +accessible et populaire+ et le dĂ©ployer mondialement avec des apports financiers importants pour relancer cette belle marque française Â».

Ce projet est portĂ© Ă  51% par la sociĂ©tĂ© d’investissement Neopar, spĂ©cialiste du « retournement d’entreprise Â» et dĂ©tenue par la famille Poitrinal; Ă  26,5% par un groupe d’investisseurs dont Xavier Niel, ainsi que l’actuel patron d’Airesis, la maison mĂšre du Coq Sportif, Marc-Henri Beausire et la famille Camuset, fondatrice de la marque.

Enfin, le groupe amĂ©ricain Iconix, qui dĂ©tient notamment les marques Umbro et Lee Cooper et a enregistrĂ© 6 milliards d’euros de ventes en 2024, intervient Ă  hauteur de 22,5% dans le projet.

Le consortium compte apporter un total de 60 millions d’euros qui serait « injectĂ© immĂ©diatement Â», a-t-on prĂ©cisĂ© Ă  l’AFP. Il dit envisager de « sauvergarder le site de Romilly ainsi qu’un maximum d’emplois Â» - sans plus de dĂ©tails chiffrĂ©s.

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Son objectif est notamment de dĂ©velopper le Coq Sportif « Ă  l’international Â», estimant que la marque a « un trĂšs fort potentiel de croissance Ă  travers des enseignes multimarques Â» via les rĂ©seaux d’Iconix et d’Intersport et comptant « profiter de la visibilitĂ© obtenue avec les JO Â». Ce projet bĂ©nĂ©ficie Ă©galement « du soutien d’Intersport et de nombreuses enseignes multi-marques Â», indique le communiquĂ©.

La dĂ©cision du tribunal des affaires Ă©conomiques (TAE) de Paris (anciennement « tribunal de commerce Â», NDLR) sur la reprise du Coq Sportif devrait ĂȘtre rendue « fin mai, dĂ©but juin Â», selon une autre source proche du dossier.

Selon les Echos, une autre offre serait en lice pour reprendre l’équipementier tricolore, projet qui « aurait le soutien des pouvoirs publics Â» et serait portĂ© par l’homme d’affaires franco-suisse Dan Mamane.

Le ministĂšre de l’Economie, contactĂ© par l’AFP, a confirmĂ© que deux offres avaient Ă©tĂ© dĂ©posĂ©es, sans rĂ©vĂ©ler l’identitĂ© du second candidat Ă  la reprise du Coq Sportif.
Bercy a ajoutĂ© ĂȘtre « en train d’analyser les mĂ©rites comparĂ©s des deux offres Â».
Le ministĂšre de l’Economie dit suivre plusieurs paramĂštres, dont « la prĂ©servation de l’empreinte de Romilly et des emplois qui y sont attachĂ©s Â» ainsi qu’un « traitement Ă©quitable de l’exposition financiĂšre de l’Etat, qui a fourni un soutien exceptionnel au Coq Sportif Â».

En mars dernier, la rĂ©gion Grand Est a acceptĂ© d’annuler 50% des crĂ©ances du Coq Sportif envers l’entreprise pour faciliter sa reprise. Le Coq Sportif est endettĂ© envers des acteurs publics pour un montant compris entre 60 et 70 millions d’euros. L’entreprise a notamment bĂ©nĂ©ficiĂ© de plusieurs prĂȘts de l’Etat français d’un montant total de 42 millions d’euros, a encore mentionnĂ© la rĂ©gion Grand Est.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Reprise-du-coq-sportif-deux-offres-en-lice,1729890.html

Birkenstock, fort d’une demande Ă©levĂ©e, relĂšve ses prĂ©visions annuelles

Le fabricant allemand de chaussures Birkenstock a relevĂ© jeudi ses prĂ©visions annuelles, grĂące Ă  des ventes supĂ©rieures aux attentes au deuxiĂšme trimestre et Ă  une forte demande pour ses sandales et sabots haut de gamme. L’action de la sociĂ©tĂ© a progressĂ© d’environ 5 % en prĂ©-bourse.

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Les nouvelles versions des produits Birkenstock, telles que les Arizona Essentials et les Madrid Big Buckle, ont contribuĂ© Ă  attirer davantage de clients, ce qui a permis de soutenir les ventes malgrĂ© l’incertitude persistante liĂ©e aux droits de douane.

La demande accrue pour ses modĂšles confortables, en particulier auprĂšs des jeunes clients, dans des boutiques telles que Nordstrom et Foot Locker, a Ă©galement renforcĂ© les partenariats de Birkenstock et ses projets d’ouverture de nouveaux magasins.

« Nous pensons que la situation tarifaire pourrait entraĂźner un changement unique dans le comportement des consommateurs dans le secteur de la chaussure, avec une division entre quelques marques, comme Birkenstock Â», a dĂ©clarĂ© Oliver Reichert, PDG de Birkenstock.

Birkenstock a dĂ©clarĂ© avoir investi environ 21 millions d’euros au deuxiĂšme trimestre, afin d’augmenter sa capacitĂ© de production pour rĂ©pondre Ă  la demande croissante dans des rĂ©gions telles que les AmĂ©riques. Le chiffre d’affaires net en AmĂ©rique, son plus grand marchĂ©, a augmentĂ© de 23% au cours du trimestre clos le 31 mars, contre 19% un an plus tĂŽt.

La sociĂ©tĂ© prĂ©voit dĂ©sormais que son chiffre d’affaires pour l’exercice 2025 se situera dans le haut de sa fourchette prĂ©visionnelle prĂ©cĂ©dente, comprise entre 15% et 17% Ă  taux de change constant.

Elle a Ă©galement indiquĂ© que sa marge annuelle avant intĂ©rĂȘts, impĂŽts, dĂ©prĂ©ciation et amortissement (EBITDA) se situerait entre 31,3% et 31,8%, contre une prĂ©vision prĂ©cĂ©dente de 30,8% Ă  31,3%.

L’entreprise a enregistrĂ© un chiffre d’affaires trimestriel de 574,3 millions d’euros, contre 567,7 millions d’euros selon les estimations des analystes compilĂ©es par LSEG. Sur une base ajustĂ©e, la sociĂ©tĂ© a enregistrĂ© un bĂ©nĂ©fice trimestriel de 0,55 euro par action, contre 0,54 euro selon les estimations des analystes compilĂ©es par LSEG.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Birkenstock-fort-d-une-demande-elevee-releve-ses-previsions-annuelles,1730637.html

Le recyclage des dĂ©chets textiles « Ă  bout de souffle Â», le gouvernement veut une filiĂšre française

Le gouvernement veut remettre Ă  plat le recyclage des textiles en France, estimant le modĂšle actuel « Ă  bout de souffle Â» face Ă  l’explosion des volumes de dĂ©chets, et attirer les investissements pour crĂ©er une filiĂšre française et europĂ©enne.

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Le cahier des charges de la filiĂšre REP (responsabilitĂ© Ă©largie du producteur) textiles, linge de maison, chaussures (TLC) sera remis Ă  plat, et les nouvelles rĂšgles devraient entrer en application dĂ©but 2026, a indiquĂ© dimanche le ministĂšre de la Transition Ă©cologique dans un communiquĂ©. Ceci fait suite Ă  une demande formulĂ©e par le ComitĂ© stratĂ©gique de filiĂšre Mode et Luxe en fĂ©vrier, comme l’avait rĂ©vĂ©lĂ© FashionNetwork (lire notre articlĂ© dĂ©diĂ©).

« Le modĂšle actuel (
) est Ă  bout de souffle. Face au mur de dĂ©chets gĂ©nĂ©rĂ©s par l’ultra fast fashion et la fragilisation durable des dĂ©bouchĂ©s Ă  l’exportation, il y a urgence Ă  agir Â», a dĂ©clarĂ© la ministre AgnĂšs Pannier-Runacher, citĂ©e dans ce communiquĂ©.

En France, un tiers seulement des textiles sont collectĂ©s, « le reste terminant sa vie dans les poubelles Â», souligne le ministĂšre, et « sur le tiers collectĂ©, seuls 30% sont recyclĂ©s, majoritairement hors d’Europe Â».

Les filiĂšres REP sont la traduction du principe « pollueur payeur Â»: celui qui fabrique ou distribue un produit est responsable de sa fin de vie. Une contribution est prĂ©levĂ©e sur chaque article vendu pour soutenir le financement des moyens nĂ©cessaires Ă  la collecte et Ă  la valorisation.

La rĂ©vision du cahier des charges doit permettre d’« investir massivement dans une filiĂšre française et europĂ©enne de la collecte, du tri, du rĂ©emploi et du recyclage Â», estime la ministre, et « permettra de crĂ©er des emplois sur notre territoire, en attirant les investissements dans une industrie verte par nature. Â»

Avec notamment, a prĂ©cisĂ© son cabinet, « une mesure trĂšs importante Â» qui sera proposĂ©e: permettre Ă  l’éco-organisme ReFashion - chargĂ© par le gouvernement d’accompagner l’industrie de la mode vers une Ă©conomie plus circulaire -, « d’investir dans des infrastructures industrielles de tri et de recyclage des dĂ©chets Â», et non plus seulement de les subventionner.

Usine de recyclage en Moselle

Un projet d’usine de recyclage textile doit ĂȘtre annoncĂ© lundi lors du sommet Choose France, destinĂ© Ă  attirer en France des investissements Ă©trangers, a indiquĂ© le cabinet d’AgnĂšs Pannier-Runacher.

Il s’agit, selon Les Echos, de l’entreprise Circ, une jeune pousse amĂ©ricaine de Virginie, soutenue par Bill Gates et qui souhaite installer son usine Ă  Saint-Avold (Moselle), avec « un investissement de 450 millions d’euros et la promesse de 200 emplois Â». Selon le quotidien Ă©conomique, « Circ a levĂ© jusqu’ici plus d’une centaine de millions d’euros Â», et « le financement de l’usine reposera sur une autre levĂ©e de fonds et de l’endettement avec l’objectif de dĂ©marrer en 2028 Â».

Toujours selon Les Echos, Circ « a dĂ©jĂ  lancĂ© le processus de l’enquĂȘte publique pour son usine et espĂšre dĂ©poser ses dossiers d’autorisations industrielles en dĂ©but d’annĂ©e prochaine pour obtenir un feu vert fin 2026. L’Etat a promis de boucler la paperasse en 9 mois, contre une moyenne de 18 mois de dĂ©lais administratifs qui sape la rĂ©putation du pays chez les industriels Â».

La ministre a assurĂ© que ce nouveau modĂšle serait mis en oeuvre « en concertation avec l’ensemble des acteurs, en particulier l’économie sociale et solidaire dont le rĂŽle de cohĂ©sion est majeur Â».

Le volume des déchets textiles a bondi de 40% depuis 15 ans au niveau mondial.

Une proposition de loi rĂ©glementant la « fast fashion Â» sera examinĂ©e au SĂ©nat Ă  partir du 2 juin.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Le-recyclage-des-dechets-textiles-a-bout-de-souffle-le-gouvernement-veut-une-filiere-francaise,1731398.html

Loi « anti-fast fashion Â» : les dĂ©fenseurs de la version adoptĂ©e Ă  l’AssemblĂ©e craignent pour son efficacitĂ© aprĂšs son amendement au SĂ©nat

Ce 14 mai, l’évĂ©nement Fashion Act de Cose361 a rĂ©uni un bon nombre d’acteurs de l’industrie textile et de responsable RSE du secteur mode. L’occasion de rĂ©aliser un Ă©tat des lieux la proposition de loi dite « anti fast-fashion Â». Et pour les intervenants impliquĂ©s depuis de longs mois dans ce dossier, les amendements proposĂ©s par la commission sĂ©natoriale inquiĂštent, alors que le texte sera examinĂ© le 2 juin prochain, et votĂ© le 10 juin par le SĂ©nat.

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“Il reste quinze jours”, urge Julia Faure, fondatrice de la marque Loom et du collectif En mode climat. À ses cĂŽtĂ©s, la dĂ©putĂ©e Horizons Anne-CĂ©cile Violland, l’une des grandes figures du texte d’origine adoptĂ© par l’AssemblĂ©e nationale l’annĂ©e derniĂšre, le prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration française du prĂȘt-Ă -porter fĂ©minin Yann Rivoallan, et Victoire Satto, fondatrice du mĂ©dia The Good Goods.

Des acteurs de la fast-fashion européenne épargnés

RemaniĂ©, le texte de loi est “vidĂ© de sa substance”, selon le collectif Stop Fast Fashion. À l’origine, il prĂ©voyait d’interdire la publicitĂ© aux entreprises de fast-fashion, ainsi qu’un mecanisme de prime-pĂ©nalitĂ©s en fonction de l’impact durable des vĂȘtements. Des pĂ©nalitĂ©s qui devaient ĂȘtre payĂ©es par les entreprises, sans obligatoirement se rĂ©percuter sur leur prix final. Parvenu au SĂ©nat, le texte a Ă©tĂ© largement amendĂ©: il s’attaque dĂ©sormais majoritairement aux acteurs de l’ultra fast fashion, comme les gĂ©ants chinois Shein, Temu et Aliexpress, en Ă©pargnant les acteurs europĂ©ens de la fast fashion, pointent les observateurs.

La publicitĂ© de ces acteurs, elle, ne serait plus interdite, mais “encadrĂ©e”. Un exemple: les influenceurs ne pourraient plus faire de collaborations rĂ©munĂ©rĂ©es avec des enseignes. Une mesure inefficace, selon Victoire Satto, qui indique que les partenariats entre les influenceurs et Shein se font sur la base de dons de vĂȘtements, et non pas de rĂ©munĂ©ration financiĂšre. Enfin, les prime-pĂ©nalitĂ©s ne seraient plus indexĂ©es sur l’impact environnemental, mais sur les “pratiques industrielles et commerciales”. Un terme flou, que ni la sĂ©natrice Sylvie Valente Le Hir, ni la ministre de la transition Ă©cologique AgnĂšs Pannier-Runacher ne savent dĂ©finir pour l’heure, selon Anne-CĂ©cile Violland.

Une loi pour réguler le secteur de la mode

“Le texte a Ă©tĂ© diminuĂ© pour des raisons politiques”, poursuit Julia Faure. Si le prĂ©sident et le rapporteur du SĂ©nat ont souhaitĂ© maintenir le vote de la loi, son amputation tient d’un “lobbying sur et certain” de la part de politiques français notamment, selon Anne-CĂ©cile Violland. Des personnalitĂ©s comme Christophe Castaner (ancien ministre et dĂ©putĂ©) et Bernard Spitz (ex-MEDEF), ont Ă©tĂ© recrutĂ©es par Shein et dĂ©fendent une “action coordonnĂ©e pour avoir accĂšs Ă  nos datas, dĂ©truire nos emplois et notre modĂšle social”, Ă©voquĂ©e par Yann Rivoallan.

En attendant le vote, les quatre intervenants demandent un soutien accru de la part des diffĂ©rentes fĂ©dĂ©rations de mode françaises, mais Ă©galement de la part des marques. Julia Faure est catĂ©gorique: “Les enjeux Ă©cologiques sont tellement importants qu’il est beaucoup plus utile de soutenir ce genre de lois que de travailler en interne sur la RSE. Soutenir cette loi, c’est ce qu’il y a de plus puissant.”

L’entrepreneuse poursuit: “L’ultra fast fashion est en train de polariser le monde de la mode. Soit les entreprises meurent, soit elles deviennent de mini-Shein”. La solution, selon elle: rĂ©guler le secteur de la mode, ce que permettrait de rĂ©aliser la loi sous sa forme d’origine.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Loi-anti-fast-fashion-les-defenseurs-de-la-version-adoptee-a-l-assemblee-craignent-pour-son-efficacite-apres-son-amendement-au-senat,1730188.html

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La revue de presse du jour :coffee:, merci @gilead

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Au sujet de l’IA dans le comportement d’achat, je commence à avoir quelques clients qui passent la porte du magasin Drapeau Noir sur recommandation de chatgpt (et un autre dont j’ai perdu le nom)

la premiĂšre fois devaity ĂȘtre l’étĂ© dernier.

la premiùre fois, ça m’a surpris haha

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Grok

merci @gilead tu régales :slight_smile:

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@gilead c’est la perfection au masculin

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Ce que l article omet de dire c est que la demande decuplee depuis 10ans de cahemire a demultiplie le nombre d eleveurs, ce qui inevitabelemt impacte tres fortement la steppe qui est broutee sur desormais une superficie bien plus grande. Meme sans les conditions climatiques, les repercussions ecologiques de cette filiere sont immenses.

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Oui y’a un gros shift en ce moment dans les habitudes oĂč la recherche par IA commence Ă  remplacer la recherche Google classique.

Aux US Google a dĂ©ployĂ© son Gemini for Search (peut ĂȘtre ça l’autre IA que tu cherches) et visiblement ça marche hyper bien.

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Si, c’est induit dans l’extrait suivant :

Ces derniÚres années, le fort engouement pour cette fibre, en particulier de la part des maisons de luxe, a engendré une surproduction et la multiplication des élevages en Mongolie.

Toutefois, pour des raisons politiques assez Ă©videntes, Loro Piana ne peut pas axer sa communication sur cet angle d’analyse. Imagine s’ils dĂ©claraient « Nous allons faire pression sur les institutions mongoles pour restreindre le nombre d’élevages et les quantitĂ©s de cachemire produites, limitant ainsi l’accĂšs des autres marques de vĂȘtements Ă  cette fibre ainsi que les sources de revenu pour les populations autochtones Â» :sweat_smile:
Mettre l’accent sur les conditions climatiques permet en revanche de se donner le beau rĂŽle, de ne froisser personne de maniĂšre directe, et de lĂ©gitimer d’éventuelles restrictions ultĂ©rieures.

On notera au passage que LP ne semble pas se fournir en cachemire en Mongolie intérieure (région chinoise).

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Quand @gilead donne un cours de géographie car il a la connaissance absolue
 je ne savais pas que la Mongolie intérieure était
 en Chine :slightly_smiling_face:

Et malgrĂ© sa connaissance absolue, @gilead ne savait pas que l’adjectif pour la Mongolie Ă©tait « mongol Â» et pas « mongolien Â» :sweat_smile:

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:rofl: oups (c’est corrigĂ©, merci)

De nombreuses marques ont exploitĂ© la confusion possible en indiquant « Mongolie intĂ©rieure Â» comme lieu de provenance/fabrication plutĂŽt que Chine, afin de ne pas s’aliĂ©ner une partie de leur clientĂšle.
Dans le cas du cachemire, c’est d’autant plus ridicule que les meilleures fibres sont produites lĂ -bas, et qu’il y existe depuis assez longtemps les structures de production et le savoir-faire pour fabriquer des articles de trĂšs bonne qualitĂ© (cf. Erdos).
D’un strict point de vue Ă©cologique, on pourrait mĂȘme arguer qu’une production verticalement intĂ©grĂ©e en Chine est prĂ©fĂ©rable au traitement des Ă©tapes post-rĂ©coltes en Ecosse ou en Italie.

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Il y a plus de mongols (ethniques) en Mongolie intĂ©rieure (en Chine donc) qu’en Mongolie (le pays).

Je ne sais pas si ça a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© annoncĂ© mais ouverture d’un magasin Centre Commercial « outdoor » Ă  cĂŽtĂ© de l’actuelle boutique

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Curieux de voir leur sélection :thinking:

J’imagine que ça va rester du outdoor modeux mais je me trompe pe

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https://www.bleedingindigo.com/
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Marque nĂ©erlandaise qui fabrique tout dans son atelier local. Tissus en partie japonais. Univers workwear-denimwear-heritage. Coupes relaxed. Prix corrects (170€ la chemise en chambray, 230€ le jean large taille haute, 450€ la veste en kantha, etc.).









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