J’ose tout de même espérer que Mastercard sait payer du beau monde pour mettre les majuscules aux bons endroits dans ses CGU
@Boras mouais ils étaient très premier degré dans cette démarche à leurs débuts et IMO ils n’ont commencé à ironiser dessus sur le tard que pour ne pas passer pour des glands quand ça n’a plus été dans l’air du temps
nan vraiment depuis le début, c’est beaucoup de second degré
c’es malin car ça se lit au premier aussi, et permet de faire du marketing du superlatif en toute détente
mais y a clairement une façon de faire qui ne se prend pas au sérieux, et qui justement, amener un truc plus « léger » que la petite marque star de l’époque chez les débutants en chiffons qui découvraient le vêtement via internet
la comm’ du t-shirt était plus facilement captable en second degré « y a X milliard de t fait dnas le monde à la seconde, àa pollue, on va changer ça en faisant en t-shirt »
Tu as du en discuter avec eux, je ne me permettrais donc pas de remettre en cause leur intention, mais j’ai beau essayer, je n’arrive pas à voir du second degré dans leur comm
je ne dis pas que c’est à se bidonner, ça me fait pas rire ou quoi ^^ mais je comprends ce qu’ils font mnt quand on ne regarde pas par son prisme « passionné » ou « débutant » à 'l’opposé du spectre
et au final, ce n’était pas plus racoleur que les marques qui se la jouait haut de gamme à pas cher avec des tissus « d’exception » alors qu’n parlait de matière japonaise premier prix
y avait presque un petit coté troll de ce type d’enseigne, dans le discours pour certaines, dans l’image pour d’autres
ça reste perçu premier degré c’est sûr, mais c’est marrant de voir qu’avec un peu de légereté, ça s eprend pas autant au sérieux ^^
Pour un initié ou quand on fait partie du milieu, on peut éventuellement percevoir le côté troll.
A l’échelle du client, je trouve ça difficile de percevoir le second degré, on peut adhérer à ce genre de discours quand on débute, ou à l’inverse trouver ça arrogant ou malhonnête.
Pour moi, c’est de la technique de bonimenteur (avec tout le respect que j’ai pour une marque qui fait du chiffre et qui vend bien à priori).
C’est clair que le discours d’Asphalte peut paraître premier degré mais le nom de leur produit « machin ultime » ou « bidule parfait » laisse quand même deviner qu’il y a une seconde lecture plus auto-dérision.
Leurs fringues sont pas mal, niveau RQP, et répondent à pas mal d’exigences de consommateurs (design sympa, solide et pas trop cher)
Je serais plus critique envers des marques qui abusent d’un storytelling pompeux avec leur chiffons inspirés de vêtements d’ouvriers dénichés aux puces de Saint Ouen.
Les dites fringues qui sont, par ailleurs, vendues un smic voir plus et qui ne supportent pas un passage en machine.
Même si je doute sérieusement que ce soit le but recherché, si ton second degré est pas obvious pour la majorité de ton public c’est que c’est raté (et c’est écrit avec les pieds pardon hein)