Ce n’est pas moi qui l’ai posée, plz read. o/
T’as déjà vu une écharpe s’user à en devenir plus utilisable ?
Moi jamais. Baba non plus.
Sauf à avoir un témoignage d’une usure d’écharpe, le questionnement est vraiment superflu.
(Je te fais la version courte : une. écharpe. ça. ne. s’use. pas.)
Parce que vous n’êtes qu’un ramassis d’eunuques sans barbe. Les hommes, les vrais, peuvent user une écharpe au contact de leurs larges cous râpeux, ou à force de s’en servir comme outil de bondage sur leurs innombrables conquêtes féminines (non seulement consentantes, mais demandeuses, bien sûr).
T’es relou gars
[modération]
laissez couler les gars et ne répondez pas, un « relou » ne peut pas converser tout seul, c’est assez facile que ça ne fasse plus de vague
prochain message, je supprime, les infos sur le sujet ont été communiquées, avec un ton désagréable oui,
maintenant ceux qui ne savaient pas sont au courant pour cet atelir / marque atelier
on passage à autre chose
[modération]
sauf erreur de ma part, je n’ai reçu aucun MP de ta part demandant la suppression de ton compte.
Tu peux m’envoyer un MP avec ta demande et cela sera fait dans les 5mn où je le lis
Pourquoi Déborah source-t-elle tous ses tweeds chez Harris Tweed ? Car le nom est connu, le coût, relativement bas, et le stock service, bien pourvu ?
Je doute qu’il s’agisse d’un choix principalement esthétique, car il existe d’autres producteurs aux tissus plus beaux, et capables de travailler avec les petites marques comme DBF.
Pourquoi pas Woven in the Bone, micro-entreprise gérée par une femme seule — un profil qui devrait beaucoup plaire à Deb — ?
Pourquoi pas Molloy & Sons ?
Pourquoi pas Fox Brothers ? (prob. trop cher pour maintenir le placement tarifaire actuel de DBF, sauf à sacrifier la marge)
etc.
Je trouve sinon cette nouvelle collection assez réussie. Impression générale de sobriété et de maturité.
Les 3 hauts en nuances orange retiennent mon attention : Mountain Parka (avec son zip double-curseur :thumb up:), gilet Camargue en laine bouillie, et pull shaggy dog. Curieux de voir le détail des matières.
Je vais pas ressortir un surnom connu mais on est à la limite de la question rhéthorique là.
Du coup merci pour la découverte, c’est assez dingue comme entreprise!
Bon, @Boras supprimera si jamais mon message fait partie de ce qu’il considère comme étant superflus ou désagréable, mais je pense qu’il y a un complément d’information à apporter pour qui voudrait acheter une écharpe Samuel tweed ou DBF, vu que ça taper à plusieurs centaines d’euros.
Contrairement à ce que tu dis, @Fennec (ou ton/tes acolyte.s) : oui, une écharpe s’use.
Pas toutes les écharpes, comme je l’évoquais plus tôt. Mais celles de Samuel Tweed en particulier : oui.
Précison utile à mon sens : je parle d’usure au sens où mon écharpe perd un peu (beaucoup) de ses poils par friction à chaque port. Peut-être n’est-ce pas de l’usure pour vous, auquel cas pas de souci, mais chacun se fera son idée. Est-ce un problème pour moi et les 40 balles que j’ai dépensés ? Pas le moins du monde, même si j’y fais plus attention. Les fringues sont faites pour vivre, c’est ainsi.
Peut-être aussi que c’est mon écharpe (Vinted) qui est foireuse et que celles commandée en groupée sont plus solides : c’est pour ça que je demandais des précisions, puisque certains ici ont plus de recul.
Dernier point : quand je parle du tissage (je n’ai pas forcément le bon terme, ndlr), c’est en référence au fait Samuel Tweed construit ses écharpes sur une trame relativement évasée. Je parle de ça :
C’est ce qui explique pour moi - outre la physique propre au mohair - que des fils se fassent la malle plus facilement. Là aussi, pas de prétention dans mes déductions.
Tiens, juste en déroulant l’écharpe, un vestige du dernier port :
Sur ce, pace, bravitude et pas de suppression de compte.
@gilead > tu serais surpris par la qualité ou l’originalité de certaines cordes, si jamais tu veux faire quelques expériences autres que de pensée ! Merci pour les réf, au demeurant ! Je vais aller cultiver ça.
J’imagine et il y a de fortes chances que ce soit par rapport à la réputation de la maison Harris Tweed qui existe depuis 1846.
Quand vous parlez de Harris tweed vous parler de ça:
https://www.harristweed.org/ ??
Pour être aller à Harris&Lewis c’est pas une entreprise c’est plein de petit producteur qui fonctionne plus ou moins en coopérative. Sauf erreur l’organisation passe commande fourni la matière première puis James, Dean and John font leur tweed de leur côté
Tu peux visiter le « stock »
Merci d’avoir répondu, je pensais pas que ma question engendrerait un shitstorm
Clairement ma question durabilité avait pour origine les deux points que tu as soulevés : trame assez ouverte et un aspect « brossé » qui donne l’impression que c’est plus fragile qu’une écharpe « classique ».
@Fennec désolé mais dire qu’une écharpe s’use pas c’est faux, tout vêtements s’use, c’est juste la vitesse d’usure qui va varier. Et pour avoir eu une écharpe AP il y a quelques années que je portais tous les jours en hiver ba au bout de 3/4 ans elle s’était bien usé : ça perdait pas mal de fils aux extrémités et visiblement sous le coup de certaines tensions la trame avait bougé et s’ouvrait en plusieurs points. Alors oui AP et Samuel Tweed c’est pas le même délire, mais du coup la question durabilité se pose même pour une écharpe selon moi.
Je suis passer sur l’île et au stock il y a 2 semaines. C’était bien sympa, je suis reparti avec un p’tit échantillon pour me servir de marque-page.
En visitant les Blackhouses sur l’île (maisons construites selon une méthode traditionnelle et conservées au titre de patrimoine culturel) on peut voir un gars travaillé sur une machine manuelle. L’occasion de poser des questions sur le fonctionnement (bon faut quand même arriver à passer outre les termes techniques anglais et l’accent écossais à couper au couteau )
Aussi passé au blackhouse
En faite harris tweed c’est presque une IGP plus qu’une marque
Ouai je pense que c’est un passage obligé ^^
J’ai la même interprétation que toi, ma compréhension est que tout tissu venant de l’île et respectant un certain cahier des charges (machine manuelle, laine d’une certain race de mouton…) peut avoir l’étiquette Harris Tweed. Mais c’était pas très clair dans les boutiques où je suis passé. L’île est sympa en tout cas, une des étapes que j’ai préféré en Écosse, pour son calme notamment.
Oui, c’était un peu une question rhétorique, avec tout de même une part de curiosité sincère sur la démarche du sourcing.
S.E.H Kelly avait sorti l’hiver dernier un manteau en tweed Woven in the Bone, avec une augmentation d’environ 30 % du prix de vente habituel. [Edit : peut-être le surcoût s’expliquait-il aussi en partie par la laine de mouton choisie ?]
Considérant en plus les quantités très limitées de tissu obtenues chez WitB, je peux comprendre que Déborah trouve un tel fournisseur problématique en vue d’une distribution wholesale (qui requiert un stock de matière plus important pour satisfaire les commandes des multiples boutiques) ; elle pourrait toutefois contourner cette limitation en vendant la petite série de manteaux exclusivement sur son eshop et dans son flagship. Cela lui permettrait aussi de maximiser ses profits à la vente. Comme l’avait prouvé l’expérience du grandad en poil de chameau de l’Edition 15 (AW20), DBF possède déjà une clientèle capable de payer un peu plus pour un produit exclusif et particulièrement beau.
La véritable durabilité d’une écharpe c’est la durée avant laquelle ta copine va te la voler.
Ah, moi ce sont les casquettes
Moi c’est ma bouffe
j’espère que tu manges équilibré et léger alors ^^