Ouai ok mais pour les OnG il est donc préférable que les nomades s’entassent dans les bidonvilles d’oulan Bator ?
Elle s’annonce magnifique collection 
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J’adore l’influence littéraire. C’est rafraîchissant dans tout ce marketing épuisant des autres marques, ou du militaro-sartoriale vu et revu. Je peux me tromper mais je trouve ça plutôt sincère en plus, c’est pas une posture
Bref conquis par l’approche de la marque, du ton de la vidéo et des vêtements présentés. Ça me permet de dépasser mon approche « bonne facture = trop cher et basta » qui est assez réductrice dans le fond (même si ça reste cher pour mon budget 
)
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La méthode Coué pour passer De Bonne Fracture Ouverte à De Bonne Fracture Réduite. 
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Mouai l’influence littéraire c’est loin d’être la première à le sortir. Brut l’avait déjà fait, Adret l’a fait aussi je crois, je me demande même si ça avait pas déjà été l’inspi d’une ancienne collection DBF… Rien de très original je trouve.
Par contre la collection a l’air assez ouf. Vivement que ça sorte que je ne puisse pas me le payer 
J’ai pas connaissance des références que tu décris. Mais je serai curieux de voir l’influence littéraire de brut ou de Adret, si tu arrives à me retrouver l’auteur ou le livre mentionné!
My bad pour Brut, leurs vestes étaient plutôt inspirées par des peintres/artistes que des écrivains :
Ils citent Constantin Brancusi, Claude Monet, Vincent Van Gogh, Jean Renoir, Antoine Bourdelle…
Pour Adret faudra que je recheck leur insta, je verrai ça quand j’ai le temps.
Évidemment que l’influence littéraire a déjà été utilisé mais c’est quand même un sujet assez large, donc ça reste cohérent et plutôt agréable à mater.
Et en effet gros +1, ça change du marketing d’école de commerce à base de superlatif
Marrant de lire ça quand on sait que Deborah Neuberg a fait une école de commerce
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Ça fait un moment que les collections DbF sont inspirées par un artiste. Jusqu’à présent c’étaient plutôt des peintres.
Oui j’y ai pensé en l’écrivant ahah, mais justement ça se ressent pas dans le discours de la vidéo
C’est un peu la meme imo sur le fond. Y a du name dropping en pagaille (undyed wool, passe trame, harris tweed) et la nostalgie d’une certaine époque dorée
C’est juste que dans un cas ca nous parle l’autre pas du tout.
C’est limite de la sociologie
Encore heureux qu’elle donne des termes corrects pour décrire la collection qu’elle a créée, en nom qui sont « gage de qualité » elle a lâché Harris tweed et c’est tout, le reste c’est du descriptif, rien sur la durabilité, pas de « manteau parfait », « chemise qui vous suivra des dizaines d’années » ou « pantalon que vous léguerait à vos enfants » et tant mieux, c’est ce genre de discours marketing que je suis heureux de ne pas voir ici
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Ben je toruve que c’est du storytelling et elle nous vend du rêve, mais je dis pas que c’est un mal hein.
Moi en tout cas sur le coup la vidéo m’a touché, genre fait envie au dela du produit.
(et aussi c’est une video de marketing B2B, avec beacoup de clients étrangers dans des shops pointus je pense que les enjeus sont différents)
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On est dans le marketing de l’émotion
La vidéo, la voix douce, Déborah qui effleure les vetements, des belles matières (he oui bande de coquinoux, si c’était Le moustachu Jordan, qui vous présente un perf, on est moins la dedans…
Le tout pour une belle collection qui fait appel à notre imaginaire, une époque dorée, la Provence, sa lumière ses odeurs.
Déborah fait pas du Asphalte et ça se ressent dans le marketing
Attention hein : cette vidéo s’adresse à des acheteurs pro. Donc c’est un marketing qui s’adresse à des gens qui ne sont pas dupe.
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J’étais pas sur du sens de buyers, mais si c’est pour des shop c’est plus compréhensible en effet.
En fait normalement une marque peut :
- être présente sur un stand d’un salon,
- louer un showroom dans une ville,
- avoir un showroom permanent.
Et ce pour montrer les produits (prototypes) aux acheteurs qui décident ce qu’ils commandent, ce qui flèche les commandes aux ateliers.
Or avec le covid Déborah ne peut pas faire venir les gens à Paris ni être présente à l’étranger. D’où cette vidéo.
Pour le Japon son agent a mis en place un showroom sur l’archipel.
On parle ici de la collection de l’hiver prochain. Les clients particuliers ne la découvriront qu’en octobre prochain. Elle vient à peine de lancer sa collection estivale. Dans la mode classique à deux saison il y a un énorme décalage entre la conception des pièces et leur achat.
Pour le client final elle fait un lookbook (cf son site) qui ne contient aucun marketing (au delà du blabla sur l’inspiration et les refs des ateliers / matières.)
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En tout cas … les tweed et les Cordu ont l’air chouette en matière et en coupes
C’est Deborah Neuberg et non Deborah Newberg 