Défilés - FASHION WEEK

Dries Van Noten, printemps-été 2025

Dernière collection avec DVN himself à la direction artistique.















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Up😉

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Merci :pray:

Loewe, printemps-été 2025

A mon avis, l’un des temps forts de cette fashion week parisienne.















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Hermès, printemps-été 2025

La présentation de cette collec m’a laissé circonspect. Stylisme aux fraises pour de nombreuses tenues. Oh, et les décalcomanies ringardes qui prolongent sur la peau des motifs au goût déjà discutable sur les vêtements … :grimacing:
Les sacs, en revanche :hot_face:
















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Le gimmick des plumes je ne suis pas sûr mais il y a de très belles choses !

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Grosse trend sur le stacking on dirait!
Merci @gilead pour la veille, c’est super intéressant !

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Au delà du gimmick qui retient l’attention et fait parler, il doit exister une explication à ce choix. Certains vêtements de la collection rappellent un plumage (le manteau gris, le polo en nuances de beige et marron). Il y a peut-être l’idée d’un homme hybride, ou une inspiration animale plus générale.

@Val pas si évident que ça de dégager une ou plusieurs tendances à l’échelle de la fashion week, tant les styles y sont différents. Le stacking ? Peut-être. Chez Lemaire, par exemple, il y a de tout (stacking, cropped, classique). Si tu as remarqué une prévalence du stacking, je pense que c’est lié aux matières utilisées pour ces collections printemps-été ; les designers veulent probablement faire ressortir leur fluidité, leur capacité à draper. Et puis j’ai l’impression que le footwear est souvent le parent pauvre des défilés pour homme ; on ne perd donc pas grand chose à le couvrir avec du stacking … peut-être les designers en ont-ils conscience.


Ziggy Chen, printemps-été 2025

Très belle collection, dont l’intérêt central se trouve dans les tissus. Rien de surprenant, Ziggy étant connu pour son travail créatif autour des matières, leur tissage, et leur teinture. En résulte ici des nuances de couleurs vraiment particulières et subtiles. Quelque chose de très organique, me rappelant l’évolution de roches et de métaux au contact d’un sol humide et mousseux. Dominante de nuances verdâtres et grisâtres, contrastées par du violet et du vieux rose.
Les accessoires dégagent une impression artisanale (regardez les montures des lunettes et les sangles des sacs), en parfait accord avec la patine des vêtements.






















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Bon résumé de l’esprit de ses matières

Sublime défilé comme d’hab

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White Mountaineering, printemps-été 2025












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Joeone, printemps-été

Marque chinoise initialement spécialisée dans le pantalon (pour le marché chinois) qui défile à Paris depuis 2021. Le designer français Louis-Gabriel Nouchi co-dirige la collection.
















Amiri, printemps-été 2025

Collection scintillante :sparkles: :sparkles: :sparkles: :star2: :star2: :star2:
(et encore, les vêtements les plus bling ne figurent pas forcément dans la sélection ci-dessous)
Inspiration scène musicale de Memphis ou Las Vegas fin 1960s-1970s ?














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avec la legende Djib’ à la fin:

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Sacré gap entre les défilés et le prêt-à-porter :

D’ailleurs je me suis souvent demandé comment cette marque a su percer comme elle l’a fait, avec des vêtements hors de prix, pas quali, et dont le style oscille entre insipidité et mauvais goût catastrophique mais sans le toupet d’un Philipp Plein.

Je veux bien comprendre qu’il existe un marché pour pigeonner les nouveaux riches, mais pourquoi ont-ils commencé à acheter des tee shirts en coton floqués « Amiri » à 500 balles alors qu’ils avaient déjà la même chose en mieux chez LVMH, Kering et consorts ? Je comprends complètement l’idée que l’échelle de valeur peut changer en même temps qu’on s’élève d’un point de vue économique (et nous sommes d’ailleurs, dans une certaine mesure, sans doute nombreux à en être des exemples ici même) et que certaines personnes hésitent entre Louis Vuitton et Gucci comme d’autres le font entre PRL et Lacoste mais, au bout d’un moment, il y a quand même un choix qui s’opère. Pourquoi achèterais-je un jean sans aucun intérêt particulier à 2000 balles chez un créateur no name quand je peux avoir une pièce du même acabit chez Balmain ou Louis Vuitton à la place ? Quelle est la plus-value ou du moins le raisonnement derrière cette décision ?

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La hype ? Et le côté j’ai pas pareil que tout le monde, c’est important dans le streetwear.

Le point 4 de cet article semble aller dans ce sens : c’est cool parce que des gens cool en portent ==> must have :sweat_smile:
https://fashionista.com/2018/06/mike-amiri-clothing-career

Il y a pas mal de marques comme ça, je pense notamment à MASTERMIND qui me provoque les mêmes interrogations

Marrant son histoire avec le hip-hop coréen
https://fashionista.com/2018/06/mike-amiri-clothing-career

Tu tapes le nom de la marque sur google, tu vois que GQ lui lèche fort l’arrière-train

Bah c’est pas plutôt tout l’inverse ? Pour moi le sentiment d’appartenance et la poursuite de la hype du moment sont un élément-clé de la culture streetwear.

Pour GQ vu que leur opinion est globalement à vendre au plus offrant, ça va dans le sens de mon unique théorie pour le moment : le gars est arrivé avec des thunes et du réseau et a juste tout misé sur le marketing jusqu’à ce que ça finisse par fonctionner.

D’ailleurs je vois qu’il a été nommé « American Menswear Designer of the Year » tous les ans depuis 2018 par le Council of Fashion Designers of America. Que ça puisse arriver dans un monde où ce mec joue contre des Rick Owens ou des Thom Browne est une preuve plus ou moins indiscutable que son succès repose sur le copinage.

Il y a pas mal de marques comme ça, je pense notamment à MASTERMIND qui me provoque les mêmes interrogations

MATERMIND il y a quand même une esthétique et un propos, là où Amiri est vraiment pour moi un label de suiveur de tendances sans aucune valeur ajoutée. Ils font des tee shirts floqués et des leggings troués parce que c’est populaire chez leur public cible - fin de la proposition artistique. Enfin, fin de la proposition artistique hors défilés visiblement, mais ce qui est populaire chez eux et se retrouve dans la rue n’est clairement pas la vibe qu’ils apportent sur les podiums.

Ça me semble surtout une tendance du streetwear actuel, la version devenue mainsteam.

Avant (un avant que je n’ai forcément pas vraiment connu donc peut être que je le fantasme) pour être le plus frais fallait ramener un truc cool que personne n’avait jamais vu (une sape, des sneakers, une mixtape, …)

Ça semble une très bonne piste

Dans le passé mastermind cetait une marque cool, lancee par un ancien eleve de Yohji qui faisait un peu son truc dans son coin en mode gros galérien. C’était réputé plutot quali et y’avait des designs plutot cool dapres les vieux fans mais les pieces intéressantes sont introuvables faudrait chercher des photos d’archive. C’est un peu comme du BAPE vintage.
Ca a ete reouvert en 2016 et depuis ca pu c’est pas quali et y’a rien de nouveau, il recycle juste ce qui a deja fonctionne ad nauseam (comme bape mdr)

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La fashion week parisienne débute lundi prochain.

On y retrouvera les indéboulonnables Rick, Yohji, Issey, Junya, CDG, Hermès, LV, Balenciaga, mais aussi Loewe, The Row, Dries Van Noten, Ann D, Margaret Howell, ainsi que les petits chouchous de @Nieth, Peter Do et Schiaparelli.

Programme complet : https://www.fhcm.paris/fr/paris-fashion-week/calendar
Plein de noms me sont inconnus ; probablement des marques/designers exclusivement pour femme.

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Hugo Boss printemps-été 2025 (défilé à Milan)

Jolie palette de verts.










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C’est moi ou les deux premiers sont les joueurs de tennis pro Matteo Berrettini et Taylor Fritz ?