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pas de droits de douane, mais TVA de 20 % (sur le total fdp inclus) et éventuels frais de dossier/gestion du transporteur

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Etudes Studio: José Lamali quitte le trio créatif, Aurélien Arbet et Jérémie Egry restent

Changement Ă  la tĂȘte d’Etudes Studio. L’historique trio crĂ©atif de la marque de prĂȘt-Ă -porter parisienne, qui la dĂ©tenait majoritairement, se transforme en duo. Le collectif aux commandes du studio depuis 2012 perd JosĂ© Lamali, qui s’en va pour suivre d’autres projets crĂ©atifs et personnels, tandis que ses associĂ©s et cofondateurs AurĂ©lien Arbet et JĂ©rĂ©mie Egry vont poursuivre ensemble la direction artistique.

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« AprĂšs plus de dix annĂ©es de crĂ©ation en trio, JosĂ© Lamali met un terme Ă  son parcours chez Etudes Studio Â», annonce le label, en nous assurant que les trois crĂ©ateurs se sont laissĂ©s en bons termes. En fait, se recompose le duo du dĂ©part, Ă  savoir AurĂ©lien Arbet et JĂ©rĂ©mie Egry, qui se frĂ©quentent depuis leur jeunesse passĂ©e dans la pĂ©riphĂ©rie de Grenoble, faisant ensemble leurs premiers pas dans la mode et l’édition. Ce n’est qu’en 2012, lorsque JosĂ© Lamali les rejoint, qu’ils fondent Etudes, rebaptisĂ©e Études Studio en 2024.

« Aujourd’hui, la marque renoue avec sa structure originelle en duo. Amis de longue date, AurĂ©lien Arbet et JĂ©rĂ©mie Egry insufflent une vision unique de la mode, envisagĂ©e comme un terrain d’échange entre diverses disciplines -art, photographie, design graphique et Ă©dition- Â», souligne dans un communiquĂ© le label, qui regroupe sous une mĂȘme Ă©tiquette la mode avec un studio crĂ©atif et ses collections -elle a dĂ©butĂ© par l’habillement masculin lançant le prĂȘt-Ă -porter fĂ©minin en 2017- et une activitĂ© Ă©ditoriale.

Pour marquer ce nouveau chapitre, Etudes Studio annonce son retour Ă  la prochaine Fashion Week masculine de Paris en juin, sans dĂ©voiler quelle forme prendra ce come-back. Elle souhaite reprendre la parole afin de rĂ©affirmer sa vision et « le dialogue entre mode et art Â», qui est au cƓur de la marque depuis ses dĂ©buts. FidĂšle aux podiums parisiens, la griffe a dĂ©filĂ© pour la derniĂšre fois en juin 2023. AprĂšs avoir sautĂ© le rendez-vous de janvier 2024, elle est revenue en juin 2024 avec une prĂ©sentation, faisant Ă  nouveau l’impasse en janvier dernier.

Aujourd’hui, Etudes Studio revendique 80 revendeurs dans 30 pays, en particulier en Europe, mais aussi en Asie. Elle est commercialisĂ©e Ă©galement dans un corner aux Galeries Lafayette et dans sa boutique Ă©tendard de Paris, au 14 de la rue Debelleyme, ainsi que sur son site marchand. Plus qu’une expansion retail, elle souhaite renforcer son axe digital.

Pour rappel, en 2020, AurĂ©lien Arbet, JĂ©rĂ©mie Egry et JosĂ© Lamali ont Ă©tĂ© nommĂ©s Ă  la direction crĂ©ative d’Aigle. Depuis 2024, notamment Ă  compter de l’automne-hiver 2024/25, les crĂ©ateurs d’Études Studio se sont centrĂ©s uniquement sur la ligne plus premium « Aigle ExpĂ©rience by Etudes Studio Â». JosĂ© Lamali a travaillĂ© sur cette nouvelle ligne jusqu’à la collection printemps-Ă©tĂ© 2026.

https://fr.fashionnetwork.com/news/Etudes-studio-jose-lamali-quitte-le-trio-creatif-aurelien-arbet-et-jeremie-egry-restent,1724510.html

Les ventes de SMCP progressent au 1er trimestre, sauf en Asie

Les ventes du groupe de prĂȘt-Ă -porter SMCP, maison mĂšre des marques Sandro, Maje, Claudie Pierlot et Fursac, ont augmentĂ© de 3,4% sur un an au premier trimestre, Ă  297 millions d’euros, progressant dans toutes les zones gĂ©ographiques sauf en Asie.

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Soulignant « un contexte macroĂ©conomique complexe et volatil Â», la directrice gĂ©nĂ©rale du groupe, Isabelle Guichot, ajoute dans un communiquĂ© publiĂ© mardi aborder « les prochains mois avec une approche prudente mais confiante Â».

« Nous poursuivrons nos efforts en matiĂšre de maĂźtrise des coĂ»ts, d’agilitĂ© opĂ©rationnelle et de dĂ©veloppement durable, afin de poursuivre notre dynamique de croissance rentable Â», prĂ©cise-t-elle.

Dans le détail, la région Asie Pacifique enregistre une baisse des ventes de 8% tandis que la France progresse de 4%. Les ventes de la zone Europe-Moyen-Orient-Afrique (hors France) augmentent de 9,6% et celles de la région Amérique, de 4,4%.

Par marques, Sandro tire les ventes (+5,1%) suivi de Claudie Pierlot et Fursac (+2,5%). Maje ferme la marche avec une petite hausse de 1,6%.

SMCP a fermĂ© 22 magasins au premier trimestre, en particulier « pour Claudie Pierlot en Europe, ainsi qu’au Canada avec la fermeture des corners Hudson’s Bay qui devraient ĂȘtre remplacĂ©s par un nouveau partenariat local Â». Le rĂ©seau du groupe compte dĂ©sormais 1.640 points de vente.

Plusieurs ouvertures clé via des partenaires ont eu lieu dans de nouveaux marchés, en Inde et dans les Balkans, souligne-t-il.

En Asie, la baisse des ventes est liĂ©e Ă  l’« optimisation Â» du rĂ©seau en Chine avec 65 fermetures nettes en 2024, prĂ©cise SMCP.

« Toutefois, signe que le plan d’action mis en place en 2024 commence Ă  porter ses fruits, les ventes en Chine se stabilisent sur le pĂ©rimĂštre comparable des magasins, comme anticipĂ© Â», ajoute SMCP.

Le groupe tiendra son assemblée générale le 12 juin.

Paris, 29 avr 2025 (AFP)

La marque Brumes (ex-Splice) baisse le rideau

LancĂ©e en 2018 sous le nom Splice, la marque de vĂȘtements en lin français Brumes a finalement baissĂ© le rideau en fĂ©vrier, quelques mois aprĂšs son changement de nom. Sa fondatrice Marion Lemaire revient pour FashionNetwork sur cette premiĂšre expĂ©rience dans l’habillement Made in France, et les leçons Ă  en tirer pour la filiĂšre.

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https://fr.fashionnetwork.com/news/La-marque-brumes-baisse-le-rideau,1724974.html

La filiùre lin s’invite au BHV du 3 mai au 8 juin

L’Alliance du lin et du chanvre europĂ©en tient du 3 mai au 8 juin l’évĂ©nement Les Grands Gestes du Lin au sein du BHV Rivoli, le grand magasin parisien s’habillant pour l’occasion de la fibre libĂ©rienne et d’une campagne dĂ©diĂ©e.

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Les neufs vitrines accueillent pour l’occasion des mises en scĂšne ludiques mettant en scĂšne le travail et la crĂ©ativitĂ© entourant le lin. Une approche artistique qui prendra notamment la forme d’une robe sculpture de trois mĂštres de haut rĂ©alisĂ©e en fibres de lin, accompagnĂ©e de chapeaux et sac non moins massifs.

Pas moins de 900 produits de mode et de dĂ©coration en lin, produits par une centaine de marques, seront par ailleurs prĂ©sentĂ©s au fil des Ă©tages du BHV. Une offre dont l’amplitude va de Levi’s Ă  Isabel Marant et Ralph Lauren, en passant par Dockers, GĂ©rard Darel, Soeur, Maison Labiche, Pablo ou Chemise Blanche.

En ce lieu oĂč 25.000 visiteurs français et internationaux sont reçus quotidiennement sera par ailleurs proposĂ© le 17 mai une journĂ©e de rencontres avec des professionnels de la filiĂšre du lin. L’occasion pour ceux-ci de distribuer 5.000 sachets de graines de lin aux visiteurs.

La dĂ©marche s’accompagne d’une campagne de communication rĂ©alisĂ©e pour sa part dans les champs de lin normands, ainsi que dans la CoopĂ©rative de teillage situĂ©e sur le plateau du Neubourg (lire notre visite du site, et de la filature Natup).

Ces initiatives s’inscrivent dans ce que la filiĂšre prĂ©voit d’ĂȘtre une annĂ©e “d’accĂ©lĂ©ration” pour le lin. L’Europe concentre, via la France, la Belgique et les Pays-Bas, les trois quarts de la production mondiale de lin Ă  fibres longues, utilisĂ© dans le textile. Et la filiĂšre repense actuellement ses deux labels Masters of Flax Fibre et Masters of Linen.

En 2024, quelque 185.000 hectares (+128%) ont été dédiés à la culture du lin en Europe, qui avait généré 140.000 tonnes lors de la récolte 2023. La filiÚre européenne se compose de 10.000 entreprises installées dans 16 pays.

https://fr.fashionnetwork.com/news/La-filiere-lin-s-invite-au-bhv-du-3-mai-au-8-juin,1725425.html

Afflux de petits colis venus d’Asie: la France propose une taxe de frais de gestion

La France propose de faire payer « des frais de gestion Â» sur chaque petit colis entrant en Europe, dĂšs 2026, pour financer les contrĂŽles appelĂ©s Ă  se renforcer face Ă  l’afflux de colis de faible valeur envoyĂ©s notamment depuis la Chine, via des plateformes telles que Shein ou Temu.

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Il s’agit de faire « payer aux importateurs, aux plateformes, et non pas aux consommateurs, un petit montant forfaitaire sur les colis Â», a dĂ©clarĂ© vendredi la ministre des Comptes publics AmĂ©lie de Montchalin.

Elle a Ă©voquĂ© « quelques euros Â» par colis, ou « quelques centimes Â» par article, lors d’un dĂ©placement Ă  l’aĂ©roport Roissy-Charles-de-Gaulle.

« En anticipation de la rĂ©forme de l’Union douaniĂšre en 2028, la France dĂ©fendra l’instauration rapide au niveau europĂ©en d’un mĂ©canisme de frais de gestion sur chaque petit colis entrant en Europe. L’argent rĂ©coltĂ© servirait au financement des contrĂŽles Â», a prĂ©cisĂ© Ă  l’AFP le cabinet de la ministre.

« Nous ne pouvons agir seuls, parce que si nous agissons seuls, les flux iront dans un autre pays Â», a relevĂ© Eric Lombard, ministre de l’Economie. « Les Pays-Bas sont trĂšs intĂ©ressĂ©s Â» et « nous espĂ©rons rĂ©unir le plus vite possible un groupe de pays qui puisse mettre en place cette mesure Â», a ajoutĂ© la ministre des Comptes publics.

Cette taxe serait appliquĂ©e Ă  partir de 2026, jusqu’en 2028, date Ă  laquelle l’Union europĂ©enne pourrait supprimer l’exonĂ©ration de taxe douaniĂšre sur les colis d’une valeur infĂ©rieure Ă  150 euros, arrivant depuis des pays extĂ©rieurs Ă  l’Union europĂ©enne.

Sur les réseaux sociaux

Quatre ministres de Bercy, Eric Lombard, AmĂ©lie de Montchalin, VĂ©ronique Louwagie (commerce et artisanat notamment) et Clara Chappaz (intelligence artificielle et numĂ©rique), ont effectuĂ© le dĂ©placement Ă  l’aĂ©roport de Roissy, principal point d’entrĂ©e du fret aĂ©rien Ă  l’échelle nationale, pour parler « rĂ©gulation Â» et « sĂ©curitĂ© des plateformes de e-commerce Â».

La France va renforcer les contrĂŽles sur les colis contenant produits cosmĂ©tiques ou mĂ©dicaments, potentiellement dangereux pour la santĂ©, et sur la conformitĂ© des produits aux normes de sĂ©curitĂ©, ainsi que s’assurer de la valeur des colis (afin qu’ils n’échappent pas aux droits de douane), a indiquĂ© AmĂ©lie de Montchalin.

Et les noms des produits retirés pour manque de conformité aux rÚgles seront rendus publics, y compris sur les réseaux sociaux, a ajouté Véronique Louwagie.

Les annonces du gouvernement ont été saluées par la Fédération du commerce en ligne et de la vente à distance (Fevad).

« Mais dĂ©sormais, au-delĂ  des intentions et des mots, nous avons besoin d’actions rapides et concrĂštes Â» et « il faut que les avantages injustifiĂ©s dont bĂ©nĂ©ficient les sites asiatiques soient supprimĂ©s en urgence et que l’Europe s’attaque Ă  la stratĂ©gie de dumping que nous subissons Â».

Des centaines de gros porteurs

La plateforme Shein, qui vend surtout des vĂȘtements Ă  bas prix, rĂ©torque dans un communiquĂ© qu’elle « respecte l’ensemble des lois, rĂ©glementations et obligations fiscales en vigueur dans chacun des marchĂ©s oĂč nous opĂ©rons, y compris en France Â».

« Le succĂšs de notre entreprise repose sur notre modĂšle unique de production Ă  la demande, et non sur des exonĂ©rations de droits de douane Â», a-t-elle ajoutĂ©.

Quelque 4,6 milliards d’envois d’une valeur infĂ©rieure Ă  150 euros sont entrĂ©s sur le marchĂ© europĂ©en en 2024, soit plus de 145 chaque seconde. Sur ce total, 91% provenaient de Chine.

Pour la France seule, 800 millions de colis d’une valeur infĂ©rieure Ă  150 euros ont Ă©tĂ© livrĂ©s l’an dernier (sur un total de 1,5 milliard de colis). La focale est mise sur ces envois dits de faible valeur parce qu’ils bĂ©nĂ©ficient en Europe d’une exonĂ©ration de taxe douaniĂšre quand ils sont envoyĂ©s depuis un pays tiers.

La Commission europĂ©enne a appelĂ© en fĂ©vrier Ă  supprimer cette exonĂ©ration qui date de 2010, pointant notamment des risques d’importation « de produits dangereux Â» et une empreinte environnementale non nĂ©gligeable sur de tels volumes.

Ainsi, « plusieurs centaines de gros porteurs transitent chaque nuit entre l’Asie et l’Europe Â», pour transporter ces colis, a dĂ©clarĂ© Eric Lombard.

https://fr.news.yahoo.com/afflux-petits-colis-venus-dasie-113826300.html

Afflux de petits colis venus d’Asie : Paris va rĂ©unir les ministres europĂ©ens

La ministre des Comptes publics AmĂ©lie de Montchalin a annoncĂ© mercredi que la France rĂ©unirait, « dans les prochaines semaines Â», les ministres des autres pays de l’Union europĂ©enne sur le financement du contrĂŽle des petits colis entrant en Europe en provenance d’Asie.

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La France a proposĂ© mardi de faire payer « des frais de gestion Â» sur chaque petit colis entrant en Europe, dĂšs 2026, pour financer les contrĂŽles appelĂ©s Ă  se renforcer devant l’afflux de colis de faible valeur envoyĂ©s notamment depuis la Chine, via des plateformes telles que Shein ou Temu.

Cet afflux est craint en raison de la hausse des droits de douane voulue par les Etats-Unis notamment sur les petits colis de Chine. « Notre projet est le suivant: faire en sorte que nous protĂ©gions les Français et que les contrĂŽles aient lieu Â», a dĂ©clarĂ© Mme de Montchalin lors des questions au gouvernement Ă  l’AssemblĂ©e nationale, disant vouloir « financer des contrĂŽles beaucoup plus massifs, mĂȘme avant la mise en place des mesures de l’Union douaniĂšre que nous dĂ©fendons Â».

AmĂ©lie de Montchalin a prĂ©cisĂ© que cela se ferait « en EuropĂ©ens, le plus rapidement possible, en faisant payer aux plateformes les contrĂŽles qu’elles devraient faire elles-mĂȘmes Â» afin de ne pas les « faire payer (
) aux honnĂȘtes contribuables français Â».

Elle a ajoutĂ© que son homologue nĂ©erlandais est « trĂšs motivĂ© Â» pour porter le projet avec elle, tandis « les Allemands en ont fait une prioritĂ© de leur contrat de coalition Â».

Ainsi, « la France, dans les prochaines semaines, rĂ©unira tous les ministres en charge de cette question au niveau europĂ©en pour que nous nous coordonnions, que nous agissions, que nous protĂ©gions notre Ă©conomie, mais que surtout nous protĂ©gions les consommateurs qui parfois ne se rendent pas compte que derriĂšre des prix dĂ©fiant toute concurrence, ils se mettent eux-mĂȘmes en danger Â» avec des biens enfreignant souvent, selon elle, des normes europĂ©ennes.

InterrogĂ© par l’AFP, le ministĂšre des Comptes publics a indiquĂ© qu’il s’agirait d’une rĂ©union informelle des ministres europĂ©ens chargĂ©s des douanes, mais dont les modalitĂ©s n’ont pas encore Ă©tĂ© fixĂ©es. Les « frais de gestion Â» proposĂ©s par la France se distinguent des droits de douane qui s’appliquent proportionnellement Ă  la valeur de la marchandise importĂ©e.

Paris, 30 avr 2025 (AFP)
https://fashionunited.fr/actualite/business/afflux-de-petits-colis-dasie-paris-va-reunir-les-ministres-europeens/2025043037956

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Lookbook Saman Amel, printemps-Ă©tĂ© 2025 « Resort Â»

feat. l’homme de lettres suĂ©dois Aris Fioretos, photographiĂ© Ă  Marrakech.

https://samanamel.com/pages/resort-ss25
https://www.instagram.com/samanamel

























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Lookbook Boogie Holiday, printemps-été 2025

Marque corĂ©enne abordable (tarifs Ă  l’entrĂ©e de la moyenne gamme) au style americana-ivy des annĂ©es 50-60.
@JeanBono toi qui connais bien l’offre corĂ©enne, en particulier sur le crĂ©neau heritage-mili-workwear, ça te dit quelque chose ?

https://boogieholiday.com/lookbook.html?cate_no=81
https://www.instagram.com/boogieholiday/























































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Wep !
C’est ma recommandation habituelle quand les gens cherchent un Drakes like sans le prix. De la rep Ivy plutĂŽt bien pricee (ils avaient des balmacaans ceinturĂ©s 100% Harris tweed dans les 300)
Ils ont une autre marque, Wild bricks de qualité un peu inférieure qui fait des chemises avec plein de poches.

Nickel, merci.

(et, effectivement, aprĂšs recherche, tu l’avais dĂ©jĂ  mentionnĂ©e plusieurs fois sur le fofo)

Lookbook Morjas, printemps-été 2025

A ma connaissance, l’une des seules marques Ă  produire des copies aussi chĂšres, voire plus chĂšres, que les originales :sweat_smile: en l’occurrence, des Doek Oxford et Moonstar Gym Classic Ă  170-190 balles (VS ~175€ pour les marques japonaises). On pourrait alors espĂ©rer des dĂ©tails de qualitĂ© supĂ©rieure chez Morjas, mais je crois que leur placement tarifaire s’explique principalement par l’économie d’échelle.
Par ailleurs, ils ressortent leurs chaussures de bateau monochromes en cuir grainĂ© souple, qui avaient connu un franc succĂšs l’an passĂ©. S’il y a « inspi Â» trĂšs marquĂ©e, je ne saurais en pointer l’origine exacte avec certitude. Par coĂŻncidence, peut-ĂȘtre faut-il regarder du cĂŽtĂ© de Saman Amel
— dont le lookbook SS25 a Ă©tĂ© postĂ© deux messages plus haut — , qui vend une chaussure de bateau trĂšs ressemblante 2 fois plus cher.

https://www.morjas.com/de/en/lookbook/spring-and-summer-2025/

















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A Paris, le Petit Palais célÚbre la naissance de la haute couture

Du 7 mai au 7 septembre 2025, le Petit Palais se fait le porte-Ă©tendard de l’histoire de la haute couture avec l’exposition Worth, inventer la haute couture”. Pour la premiĂšre fois, le couturier anglais et sa maison sont mis Ă  l’honneur dans la capitale française, et le musĂ©e a vu les choses en grand. Avec plus de 400 piĂšces prĂȘtĂ©es par le Palais Galliera, le Victoria & Albert Museum ou encore le Metropolitan Museum of Art, l’exposition retrace le parcours de la maison, de sa fondation en 1858 aux annĂ©es folles, de Charles Frederick Ă  ses descendants.

Une mode sur-mesure pour l’aristocratie internationale

Il est Ă  l’origine de la haute couture, des malles Louis Vuitton, a inventĂ© les showrooms, les systĂšmes de griffe et de dĂ©pĂŽt de modĂšles, a dĂ©placĂ© la mode parisienne autour de la place VendĂŽme, et a habillĂ© les femmes les plus riches du monde entier
 Charles Frederick Worth porte bien son nom et laisse une empreinte Ă  la longĂ©vitĂ© remarquable dans l’histoire de la mode. Son aventure dĂ©bute au sein des ateliers parisiens Gagelin, oĂč ses talents sont remarquĂ©s par la princesse de Metternich puis par l’impĂ©ratrice EugĂ©nie. AprĂšs avoir quittĂ© Gagelin, Worth marque ses dĂ©buts aux cĂŽtĂ©s du suĂ©dois Otto Bobergh, dont on sait peu, puis s’en affranchit. Le couturier anglais Ă©chappe alors au systĂšme en place au cours du XIXĂšme siĂšcle en imposant sa crĂ©ativitĂ© aux attentes de la clientĂšle. DĂ©sormais, c’est lui qui pense ses robes avant de les faire confectionner par ses couturiĂšres dĂ©vouĂ©es.

Conquise par ses modĂšles, l’impĂ©ratrice EugĂ©nie en fait le couturier de la cour. En adepte de la crinoline, Worth se distingue par des robes lourdes dont le style est qualifiĂ© de “tapissier”. Les piĂšces exposĂ©es au Petit Palais justifient cette appellation : les manches sont serrĂ©es, prĂšs du corps et les traĂźnes sont lourdes. Le crĂ©ateur affectionne particuliĂšrement la soie, le satin de soie, le velours de soie et le drap de laine, qu’il recouvre parfois de broderies. Cette opulence et ce style chargĂ© vont faire la renommĂ©e de Charles Frederick, qui vend ses crĂ©ations Ă  prix d’or. Rapidement, les robes Worth sont en vogue, et des clientes du monde entier commandent au 7 rue de la Paix. Certaines piĂšces exposĂ©es sont ainsi les anciennes propriĂ©tĂ©s de riches amĂ©ricaines.

Le travail de Charles Frederick Worth est marquĂ© durablement par son amour du travestissement et de l’historicisme. Les robes Worth sont ainsi inspirĂ©es de diverses Ă©poques et lieux. Le couturier reprend par exemple un habit masculin datant du XVIIIĂšme siĂšcle en le transformant en piĂšce fĂ©minine. Si Worth compte parmi les clientes les plus influentes de son temps, comme Lady Curzon (vice-reine de l’Inde) et Franca Florio (richissime sicilienne), sa maison s’adresse Ă©galement aux hommes avec un atelier de tailleur. Son travail l’inclut dans le cercle de nombre de personnalitĂ©s, dont les correspondances avec le crĂ©ateur sont exposĂ©es au sein du Petit Palais.

Personnage dĂ©cidĂ©ment historique, Charles Frederick Worth meurt en 1895. Loin de disparaĂźtre, la maison de couture qu’il laisse derriĂšre lui connaĂźt une nouvelle Ăšre de prospĂ©ritĂ©. C’est ce qu’ont voulu montrer les commissaires d’exposition en partageant les piĂšces créées par les fils de Worth, Jean-Philippe et Gaston, et ses petit-fils, Jacques et Jean-Charles. Ces derniers s’entourent de cercles mondains influents, et comptent sur leur amitiĂ© avec des personnalitĂ©s publiques pour faire leur publicitĂ©. La maison Worth s’ouvre aussi aux collaborations avec des crĂ©ateurs comme Pierre Cartier et des artistes tels que Jean Dunand. En 1924, la maison se lance dans la parfumerie sous l’impulsion de Jacques Worth. Le Petit Palais expose les flacons de parfums créés par la maison, et propose mĂȘme une reconstitution de parfum d’époque, aux fragrances Ă©paisses et corsĂ©es.

“Worth, inventer la haute couture” fait l’impasse sur la fin de la maison, dont la concurrence a raison dans les annĂ©es 50. Entre tableaux, lettres et piĂšces textiles, l’exposition est taillĂ©e pour attirer un “public mode averti”, affirme la directrice du Petit Palais, Annick Lemoine. InterrogĂ©s sur la multiplication des expositions portant sur la mode, les responsables de l’exposition, qui est le rĂ©sultat de quatre ans de travail, estiment que la mode devient un “objet de recherche”.

« Worth, inventer la haute couture Â»
Petit Palais, musée des Beaux Arts. Avenue Winston-Churchill 75008 Paris
du 7 mai au 7 septembre 2025

https://www.petitpalais.paris.fr/expositions/worth-0

https://fr.fashionnetwork.com/news/A-paris-le-petit-palais-celebre-la-naissance-de-la-haute-couture,1726650.html

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Elles sont cools leurs bateaux !
Des chaussures bateaux noires c’est pas trop galùre à placer , vaut pas mieux des marron ?
Je me tate .

GalĂšre Ă  placer ?
À quel niveau ? C’est facile non ?

Pas vraiment galĂšre, Ă  mon avis.
Associations Ă©videntes en pantalons : noir, bleu marine, marron, beige, violet, vert, olive. Gris, bien entendu, mais ce n’est pas une couleur commune en Ă©tĂ©.
Associations moins évidentes mais possibles : blanc, écru.

Vu chez Saman Amel (dont s’est peut-ĂȘtre « inspirĂ© Â» Morjas) :








Chez Morjas :


Bien que le monochrome noir fonctionne naturellement dans des tenues sarto & casu-chic Ă  l’élĂ©gance classique, la texture grainĂ©e du cuir et le design « bateau Â» crĂ©ent une passerelle vers des registres plus dĂ©tendus ; tu pourrais donc te rĂ©approprier les palettes ci-dessus dans ton style habituel.

Si tu commandes une paire, peu importe la couleur (noire ou marron), ton retour m’intĂ©ressera. Leur bateau blanche figure dans ma short list pour cet Ă©tĂ©. L’alternative directe Ă©tant les Paraboot Barth en cuir de cerf, mais la version actuelle est un peu plus chargĂ©e en comparaison (Ɠillets mĂ©talliques visibles, semelle couleur gomme) ; on y perd la touche minimaliste et Ă©lĂ©gante des Morjas.

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Beh ça formalise un peu une paire qui se veut casu je trouve , c’est pas mieux en marron ?

Boaf, perso ça reste toujours bien casu, un peu comme des mocs pour le coup.

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Vous pouvez m’aider à trancher ?


  • Marron
  • Noire
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Merci

toujours préférer le nor au marron quand on hésite (en godasses)

Choisir c’est renoncer.

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En cas de doute entre deux tailles, choisir la taille au dessus.
En cas de doute entre deux paires, choisir les deux.

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Bonjour,

Je viens de tomber sur cette marque sur Instagram

AprĂšs des recherches leurs vĂȘtements se trouvent facilement sur Aliexpress.

Ce jean « selvedge Â» se trouve Ă©galement sur Aliexpress

Est ce que vous pensez que c’est du vrai selvedge ?

Yep.
Okonkwo, comme Bronson, Sauce Zahn ou Amekaji sont de la rep chinoise mais de qualitĂ©, avec du coton du Xinjiang! C’est souvent Ă©tonnamment un trĂšs bon rapport QP.
Leurs M43 sont cools par exemple.
Par contre lol de la marque qui renomme tous leurs produits avec des noms tout pĂ©tĂ©s franchouillards. Surtout qu’ils ont uniquement du Okwonko donc c’est carrĂ©ment un revendeur en dropship sauf le nom.

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peut-ĂȘtre, selvedge ne veut pas dire automatiquement qualitĂ© (mais c’est quand mĂȘme un bon signe en gĂ©nĂ©ral). Par exemple : Universal Works j’ai eu un jean selvedge il puait la merde, pas mieux qu’Uniqlo.

probablement fournisseur chinois